Zhang Ziyu, 14 ans et 2,26m, le nouvel espoir de la Chine

Attention, il y a un plot twist dans cette histoire comme dans le dessin animé de Disney qui se déroule en Chine. Vous avez capté ?

Zhang Ziyu, 14 ans et 2,26m, le nouvel espoir de la Chine
Depuis la retraite prématurée de Yao Ming, la Chine se cherche une nouvelle icône mondiale du basket. L'équipe nationale n'est plus ce qu'elle était depuis que le pivot des Houston Rockets a raccroché et aucun grand talent local n'est parvenu à rejoindre la NBA depuis Zhou Qi en 2018. La nouvelle étoile du basket chinois pourrait bien s'appeler Zhang Ziyu. A seulement 14 ans, Zhang Ziyu mesure 2,26m, soit 8 de plus que Victor Wembanyama par exemple... Plot twist comme dans Mulan : Zhang Ziyu est une jeune fille. Elle vient de compiler 42 points, 25 rebonds et 6 contres en finale de la ligue chinoise en U15, dans une partie où son gabarit a UN PEU fait la différence. Yao Ming a une mission : trouver la nouvelle star chinoise

Prudence tout de même

On ne ressort évidemment pas de ces extraits vidéo avec l'idée que l'adolescente va dominer le basket féminin mondial dans quelques années. Il est bien trop tôt pour le dire et elle a énormément de travail devant elle pour exploiter sa taille et ne pas trop en souffrir sur et en dehors des terrains. Yao Ming n'était pas uniquement grand. L'ancien All-Star avait des atouts techniques qui l'ont aidé à faire une carrière intéressante, bien que courte, dans la meilleure ligue de la planète. A son entrée dans l'équivalent de la 6e en France, Zhang Ziyu faisait déjà 2,11m. L'intérieure vient sans surprise d'une famille de basketteurs. Sa mère, Yu Ying, faisait notamment partie de l'équipe nationale chinoise et mesure 1,98m. Son père, moins connu dans le monde professionnel, culmine lui à 2,13m. Le plus dur commence pour Zhang Ziyu, volontairement mise en avant par son pays et désormais obligée de porter les espoirs de fans qui rêvent d'une joueuse ou d'un joueur dominant à l'échelle mondiale. Space Jam version LeBron James massacré par les critiques US