Des playmates pour déstabiliser le Jazz avant les Finales ?
Antoine Carr, l'ancien joueur du Jazz, raconte une anecdote assez hilarante sur les tentatives de déstabilisation que subissaient les adversaires des Bulls à l'époque.
"Ce que j'aimais bien quand on jouait contre les Bulls, c'était que la ville de Chicago essayait toujours de faire quelque chose pour nous perturber elle aussi.
Par exemple, tu étais dans ta chambre d'hôtel la veille au soir d'un match des Finales NBA et tout d'un coup, une fille de chez Playboy débarquait à ta porte avec un gâteau... Ça m'est arrivé plus d'une fois.
Elle se pointait avec un imper et au moment de te montrer le gâteau, hop, l'imper tombait et c'était 'Bienvenue à Chicago'. Pour les mecs un peu jeunes, qui ne pensaient qu'à passer la nuit avec une jolie fille, ça pouvait les sortir du match.
Avec moi, ça ne marchait pas. Par contre, le gâteau était bon".
On ne sait pas si des joueurs ont effectivement cédé à la tentation, mais les Bulls l'ont emporté lors des deux finales consécutives en 1997 et 1998. Avec ou sans playmates comme joker de luxe, Chicago était la meilleure des deux équipes...