Larry Sanders se réjouit de l’arrivée de Brandon Knight

Larry Sanders est plutôt satisfait du recrutement des Bucks cet été. Il est heureux de voir Brandon Knight débarquer à Milwaukee.

Larry Sanders se réjouit de l’arrivée de Brandon Knight
Révélation aux Bucks la saison passée, Larry Sanders prend désormais un peu plus de poids au sein de la franchise, surtout depuis les départs des deux pistoleros Brandon Jennings et Monta Ellis. Le jeune joueur de 24 ans, invité au mini camp de Team USA cet été, est attendu comme l'un des leaders de Milwaukee la saison prochaine... Forcément, vu son changement de statut, le natif de Fort Pierce est désormais questionné sur tout ce qui touche de près ou de loin à l'actualité de la franchise du Wisconsin. Dans le cas présent, le transfert de Brandon Jennings à Detroit en l'échange de Brandon Knight notamment.
"Brandon Knight est un joueur dur. Il joue vraiment dur. A chaque fois que j'ai pu jouer contre lui, il se comportait comme un véritable compétiteur", raconte Larry Sanders au Journal Sentinel.
On en conclut qu'il s'agit là d'un compliment. Comme Brandon Knight n'a cessé de le proclamer, Larry Sanders pense que son nouveau coéquipier n'était pas toujours bien exploité aux Pistons.
"Des fois, il devait jouer à une position qui n'est pas la sienne. Il n'aura plus à se soucier de tout ça. Je pense que l'on va former un sacré duo sur les pick&roll. C'est un bon défenseur et il peut shooter. Je pense que c'est un super renfort pour l'équipe."
A priori, Brandon Knight a pourtant un style de jeu pas tant éloigné que ça de son prédécesseur à la mène des Bucks. Brandon Jennings avait des difficultés à diriger le pick&roll mais le nouvel arrivant n'est pas non plus un super playmaker. En revanche, il est bien moins égoïste et Sanders devrait donc hériter plus souvent de la balle au poste bas. En effet, même s'il n'est pas encore une menace fiable sous les panneaux, le pivot a tout de même progressé et il est de plus en plus efficace (première saison au-dessus des 50% de réussite). On mettrait même une petite pièce sur une saison en double-double pour Larry Sanders.