Mook REVERSE #1 WE ARE L.A.

16,90 

Les fans de NBA et de basket vont enfin avoir ce qu’ils méritent. Voici le premier Mook REVERSE !
236 pages, déjà collecto !
Format : 21 x 28 cm

  • Beau, gros, profond et ça dure longtemps : comme un livre
  • Intelligent, marrant et en plus ça détend : comme un mag
  • C’est la défense et l’attaque réunis, un two-way player : comme un mook

Produit épuisé

Catégories : ,

Description

1 - Du recul : MC Solaar avait raison

Le monde va trop vite, alors ralentissons-le ! Face à l’immédiateté du web, nous allons nous détacher encore plus de l’actualité pour gagner en distance, en réflexion et en analyse. Il paraît que “prendre du recul, c’est prendre de l’élan” et c’est exactement ce que nous comptons faire pour vous offrir toujours plus…

2 - Du temps : Travailler plus pour gagner plus… de temps

Toujours plus de quoi, au fait ? Toujours plus de qualité - sur le fond, comme dans la forme -, de découvertes, de profondeur et de matière. Par dessus tout, nous voulons vous offrir une occasion d’enfin prendre le temps d’étancher pleinement votre soif de culture basket. Deux à quatre numéros par an, c’est plus de temps pour réfléchir, décortiquer, savourer.

3 - Du bieau* : Emily Ratajkowski X Simone Veil = Le combo parfait

REVERSE version mook, ce n’est pas du fast food intellectuel, mais un vrai bel objet destiné à vous nourrir durablement. En gros, on va réconcilier une bonne fois pour toutes le beau et le bien dans une même formule.

4 - De l’ouverture : Il n’y a pas de “I” dans Dream Team… ni dans REVERSE

A chaque numéro, une thématique forte pilotée par un “comité de rédaction exceptionnel” trié sur le volet. L’objectif, prendre toujours plus de distance et s’ouvrir encore plus pour traiter le mieux possible tout ce qui touche à la culture basket, sur le terrain comme en dehors.

* : Nouveau concept qui allie le “bien” au “beau”, le tout sans sulfites ni pesticides

 

Un sommaire plus rempli que le short de Shaq

Avec beaucoup plus de pages et un format proche du livre, le choix du MOOK, c’est aussi la possibilité de faire ce qu’on ne pouvait pas faire dans un simple magazine. Dans ce premier opus, c’est la possibilité d’explorer le Los Angeles du basket de fond en comble, tout en se donnant la place pour d’autres sujets passionnants. Raconter la légende du Showtime comme celle de Venice Beach. Convoquer les Magic, Kobe et LeBron, mais également donner de la lumière à Raymond Lewis, Franklin “Nitty” Session et à tous les basketteurs, célèbres ou inconnus, pro ou amateurs, qui ont façonné la culture basket de L.A. Découvrir la Cité des Anges à travers les yeux de personnalités différentes, de ceux qui y ont vécu, à l’image de Ronny Turiaf à Rémi Reverchon, comme de ceux qui, tel Thomas Dufant de First Team ou les comptes FR des Lakers et Clippers, sont fans depuis des années.

Le MOOK, c’est aussi la possibilité de ne pas se contenter que d’un énorme dossier L.A. Il y en aura pour tous les goûts, de la nouvelle pépite française Tom Digbeu au successeur de LeBron James, en passant par David Kahn - l’ancien GM qui veut sauver Paris - ou encore l’immense Manu Ginobili.

Et comme il faut forcément un rédacteur en chef d'exception pour piloter un projet de cette envergure, c'est Evan Fournier qui nous fait l'honneur d'endosser ces fonctions pour ce premier numéro et de nous faire bénéficier de toute son expertise.

Toujours plus loin

Bref, le sommaire sera dense. Mais les papiers aussi le seront aussi. On ne commentera pas juste la signature de LeBron aux Lakers. On explorera tout ce qui se cache derrière ce choix, le sportif et le business, mais aussi le social et le politique. Vous n’aurez pas le droit à de simples portraits de Kobe Bryant ou Magic Johnson. Ce serait trop réducteur. Kobe est un être bien trop complexe qui a présenté différents visages dans le temps. Alors on se demandera quelle version était la meilleure. Magic Johnson, lui, a eu plusieurs vies, tellement nombreuses et folles que même George Lucas serait infoutu de les raconter en seulement trois trilogies. Rien que ces trois sujets, on n’aurait pas pu les traiter à fond dans un simple mag. Désormais, on pourra le faire.

Au final, le format MOOK nous permettra d’aller plus loin, dans le beau, dans l’analyse, dans la culture, dans l’humour. Car c’est dans l’ADN de REVERSE depuis plus de dix ans maintenant : on se marrera, on débattra, on vous proposera des réflexions, interviews et des portraits poussés, on ira là où personne ne va, on analysera tout ce qui a trait, de près ou de loin, à la culture basket. Mais encore plus qu’avant.

Nous avons créé REVERSE en 2005 dans un contexte difficile (la presse se portait déjà mal), pourtant la communauté basket a répondu présent et notre magazine a été merveilleusement bien accueilli. Pendant 13 ans nous avons persévéré alors qu’autour de nous le système s’effritait doucement. La distribution de la presse se meurt. Il n’y a aujourd’hui plus de place pour les petits éditeurs indépendants dans les rayons des kiosques et librairies. C’est regrettable, certes, mais cela permet aussi de se poser les bonnes questions.

Nous ne faisons pas un magazine grand public. Nous ne faisons pas un titre qui vise des centaines de milliers de ventes. REVERSE, c’est un mag pour les fans hardcore de basket, pour ceux qui veulent aller plus loin et qui ne se contentent pas de quelques tweets pour s’informer, se distraire ou prendre du recul sur le monde de la balle orange. REVERSE a toujours été « hors système », c’est dans notre ADN, dans notre culture, alors pourquoi rester dans un système qui agonise ? En le disant comme ça, cela semble évident. Nous voulons être plus proches de vous, fans de basket, et vous proposer le meilleur mag possible. Nous avons donc décidé de faire notre révolution ! Nouveau format, nouvelle identité, nouvelle distribution, nouveaux défis.