Donald Sterling n’aime pas les blancs non plus… du moins dans son équipe

Visiblement, quand il s’agit de racisme, Donald Sterling n’a pas de limites.

Théophile HaumesserPar Théophile Haumesser  | Publié  | BasketSession.com / NEWS
Donald Sterling n’aime pas les blancs non plus… du moins dans son équipe
[caption id="attachment_127764" align="alignleft" width="300"] Dans le monde idéal de Sterling, J.J. serait dans le public et Jamal sur le terrain.[/caption] Depuis le début de l’affaire Donald Sterling, les anecdotes et les témoignages affligeants ne cessent de s’accumuler. On sent d’ailleurs que ce personnage devait être quasi-unanimement détesté de tout le milieu depuis des décennies et que ses récents propos ont simplement donné le feu vert à tout le monde pour ouvrir le feu. La dernière révélation vient de J.J. Redick, l’arrière des Clippers, qui a confié à Sam Amick de USA Today qu’il avait bien failli ne pas signer avec Los Angeles parce que Sterling ne voulait pas donner autant d’argent à un joueur blanc.
« Il y avait deux choses », explique Redick.   « Il ne voulait pas me payer parce que j’étais blanc et parce que j’étais un joueur de banc. »
Visiblement, il a fallu que Doc Rivers se batte bec et ongle pour convaincre son proprio de bien vouloir signer JJ Redick. En gros, le rêve de Donald Sterling, c’est d’avoir une équipe composée uniquement de joueurs noirs et un public blanc à 100%. Son drame, c'est sans doute d'avoir été trop jeune pour pouvoir "profiter" pleinement de l'Amérique ségrégationniste...
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