Jason Terry : « Boston ? C’était facile à vendre »

Le Jet se réjouit d'avoir rejoint une franchise aussi prestigieuse que les Celtics.

Jason Terry : « Boston ? C’était facile à vendre »
Le néo-Celtic, Jason Terry, est plus que ravi d'avoir rejoint Boston et il espère bien pouvoir décrocher un nouveau titre avec sa nouvelle franchise. Alors qu'il s'était tatoué sur le biceps le logo des Mavs avec un trophée de champion avant de le remporter avec Dallas, il a remis ça cette année sur son autre bras mais aux couleurs des C's. Un geste qui, selon lui, symbolise l'état d'esprit qui l'anime actuellement et qui lui rappelle celui dans lequel il se trouvait avant l'année du sacre avec les Mavericks.
« Je me sens comme il y a deux ans quand nous avons gagné le titre (avec Dallas). Pendant la pré-saison j’ai senti que nous avions l’équipe. J’ai vu notre roster, j’ai vu les joueurs que nous avions. J’ai eu le feeling », a indiqué le Jet au Boston Herald. « Cette année, il n’y a rien de différent. Après la conversation que j’ai eu avec KG (Kevin Garnett) quand j’ai signé à Boston, j’ai senti quelque chose et j’ai su. J’ai su qu’avec les joueurs que nous avons, avec l’équipe que Danny Ainge a formée et avec Doc Rivers qui nous guide, nous allons renouer avec la victoire. »
L'ancien 6ème homme des Mavs précise également qu'il n'a pas longtemps hésité lorsqu'il a reçu un coup de téléphone des dirigeants de Boston et plus particulièrement de Doc Rivers.
« C’était facile à vendre. Il (Doc Rivers) n’a pas eu à en faire beaucoup. Si vous êtes un joueur NBA et que vous pensez à la franchise des Boston Celtics, vous connaissez déjà l’histoire. Vous savez tout à leur sujet et ils ont remporté des championnats. Alors comment ne pas vouloir les rejoindre ? » «  Nous n’avons même pas parlé d’un rôle spécifique ou quoi que ce soit. Il m’a dit qu’il veut que je sois un leader, qu’il veut que je fasse les mêmes choses que je faisais à Dallas. De ne pas changer mon jeu et de foncer tout droit. Mais que ce soit en tant que titulaire ou en sortie de banc, cela importe peu. »
A bientôt 35 ans, Jason Terry n'aura peut-être pas l'énergie et la constance pour prétendre à une place dans le 5 majeur de Boston. Mais peu lui importe. Avec un effectif talentueux et expérimenté, il persuadé que les C's seront toujours aussi compétitifs.
« Il suffit juste de regarder l’effectif. Rondo, qui est évidemment le meilleur meneur de la NBA, Paul Pierce, Kevin Garnett plus le noyau de jeunes qui est en place. C’était donc facile à vendre. Ray Allen nous a quitté mais même s’il était resté, cela aurait été facile de me convaincre de devenir un Celtic. »