La dernière fois que les Knicks avaient ce bilan, ils sont allés en finales NBA…

Les New York Knicks sont partis sur les mêmes bases que lors de la saison 1998-1999, quand ils avaient finalement atteint les finales...

La dernière fois que les Knicks avaient ce bilan, ils sont allés en finales NBA…
Vainqueurs des modestes Detroit Pistons (109-90) cette nuit, les New York Knicks sont lancés sur une série de trois victoires consécutives. Ils ont gagné sept de leurs dix derniers matches et occupent la quatrième place de la Conférence Est. Et oui. Incroyable mais vrai : si la saison s’arrêtait maintenant, ils auraient l’avantage du terrain en playoffs. C’est tellement inattendu que l’on se sent obligés de le marteler. CQFR : Giannis rappelle qui est le patron, Tatum héroïque La franchise de Manhattan vient de boucler février avec neuf victoires pour cinq défaites. C’est la première fois qu’elle termine un mois entier avec un bilan supérieur à 50% depuis… 2017 ! Quatre années entières. Les New-yorkais n’ont plus affiché des résultats pareils aussi loin dans la saison depuis 2012-2013. Leur bilan, parlons-en. Dix-huit victoires et dix-sept défaites. Vous savez ce qui s’est passé la dernière fois que les Knicks affichaient exactement les mêmes chiffres ? Et bien ils sont allés en finales ! Bon, ça remonte à 1999. Et à l’époque, ils pouvaient compter sur Patrick Ewing, Marcus Camby, Larry Johnson, Latrell Sprewell ou Allan Houston… L’équipe de Tom Thibodeau est évidemment bien différente. Ce que l’on veut faire ici, c’est rendre hommage aux coaches, aux dirigeants et aux joueurs. Les Knicks sont la risée de la ligue depuis des années. Ils font pourtant mieux (enfin un tout petit peu) que les Sacramento Kings, les Minnesota Timberwolves, voire même les Phoenix Suns (avant cette saison) depuis dix ans. Mais la grosse pomme est un gros marché. Une organisation historique. Le Madison Square Garden est considéré comme la Mecque du basketball ! Les Knicks ont des supporteurs très exigeants… enfin de moins en moins. Le bilan positif de la franchise a tout de même été fêté avec humour par les fans dans Manhattan hier. Un signe que ça va mieux. Une progression attendue depuis très longtemps. Alors chapeau à Thibodeau qui installe sa culture. Chapeau à Julius Randle qui prouve qu’il peut faire plus que des statistiques. Chapeau à l’esprit de ce groupe qui se bat, notamment en défense. Ça fait plaisir.