"Michael Jordan m'a dit [à l'été 2008] : 'Vous avez été chanceux. Il faut de la chance pour gagner une fois. C'est à partir de deux titres que l'on tient quelque chose. Le problème c'est que vos joueurs de devoir ne vont plus vouloir jouer leurs rôles. Ils rentrent chez eux et tout le monde leur dit à quel point ils sont grands. Tout ça joue dans leurs têtes. Ils reviennent et ils veulent plus de minutes, plus de tirs.' Rajon [Rondo], Kendrick Perkins et Glen Davis ont demandé des rôles plus importants", écrit Ray Allen. "Nous ne prenions plus la même direction. Il fallait constamment rappeler aux gars de faire tourner la balle."
Il s'en prend aussi à Paul Pierce qui annonçait carrément certain soir qu'il comptait se reposer sous prétexte qu'il ne considérait pas son adversaire direct comme l'un des meilleurs joueurs de la ligue."Aucun joueur ne devrait prendre de jour de repos. Le pire joueur NBA ne serait pas en NBA s'il n'était pas bon. Il peut donc vous battre à tout moment. Et si vous avez le sentiment que vous devez en faire plus contre les grands joueurs c'est que vous n'en faites sans doute pas assez contre tous les autres."
L'ambiance est délicieuse entre les Celtics 2008...