Rudy Gobert en mars, c’est un « putain de mur »

Les adversaires de Rudy Gobert souffrent quand il s’agit de tenter leur chance près du cercle. Le Français est en forme.

Rudy Gobert en mars, c’est un « putain de mur »

Certains d’entre vous se souviennent peut-être de cette punchline de Stan Van Gundy qui demandait à ses joueurs de former un « putain de mur » en défense (alors qu’il coachait les Detroit Pistons, le con). Ben en réalité, il lui suffisait d’avoir un Rudy Gobert. Le Français représente à lui seul un tour de contrôle qui semble bloquer tout le monde dans la peinture.

Nouvelle illustration la nuit dernière avec la victoire du Utah Jazz contre les Chicago Bulls. Dominant dessous, le pivot a compilé 14 points, 20 rebonds et 4 blocks. En patron. Dans la lignée de ses performances en mars.

On sent que Rudy Gobert monte en puissance à l’approche des playoffs. Une petite statistique pour étayer tout ça : en mars, ses adversaires directs ont converti seulement 53 de leurs 143 tentatives. Soit 37% de réussite. Il éteint littéralement les attaquants adverses.

Draymond Green a beau penser qu’il est toujours en tête de la course au DPOY même en ayant manqué quasiment 30 matches, la lutte promet d’être serrée avec Gobert mais aussi Giannis Antetokounmpo.

Draymond Green se sent toujours favori pour le DPOY