"D’Angelo a beaucoup grandi depuis son passage ici. Nous ne le voyons pas seulement comme un emprunt à court terme. Nous pensons que c’est un joueur qui peut s’adapter parfaitement à nos pièces maîtresses, LeBron James et Anthony Davis, en apportant du spacing, du shoot, du playmaking et de l’efficacité", a confirmé Rob Pelinka, en conférence de presse.Les Lakers inspirent enfin la sérénité avec leur nouveau cinq majeur Sur les trois rencontres depuis son transfert, le meneur a répondu à toutes ces exigences. Côté shoot et spacing, ses 17,3 points à 37,5% à trois points de moyenne font toute la différence. Il assure tout autant en termes de playmaking, comme le suggèrent ses 5,7 passes par match pour seulement 1,7 ballon perdu. Il est encore tôt pour tirer de réelles conclusions. Deux victoires face à des équipes privées de leur franchise player — Stephen Curry aux Warriors et Zion Williamson aux Pelicans — ne constituent pas un échantillon suffisant pour dresser un bilan crédible. L’idée de la prolongation de D’Angelo Russell n’est cependant pas née de ces quelques performances. Elle accompagnait déjà la franchise au moment de réaliser son transfert.
"En y regardant de plus près, je pense qu’on peut presque parler de pré-agency. Nous avons intentionnellement planifié ces transactions pour avoir plus d’options en juillet", a directement annoncé Pelinka après la trade deadline.Les exigences salariales de l’intéressé restent à définir, mais les choses paraissent déjà bien engagées. Voir Russell quitter Los Angeles cet été aurait tout d’une surprise. Patrick Beverley lâche ses vérités sur les galères des Lakers
