« C’est un peu difficile pour moi. J’ai beaucoup de respect pour ces gamins qui se battent mais c’est dur pour moi de comprendre pourquoi nous devons faire la guerre et pourquoi des enfants doivent tuer d’autres enfants dans le monde entier. Je suis donc mitigé sur le fait d’être ici. Je suis très fier de ce pays. J’adore l’Amérique mais je ne comprends que des enfants tuent d’autres enfants partout dans le monde. »Le pivot français a en tout cas reçu le soutien de son coach qui comprend la position de son joueur, impliqué depuis longtemps dans la lutte contre la violence urbaine.
« C’est son droit. Nous voulons qu’il fasse partie du groupe. Mais il n’était tout simplement pas à l’aise. On ne lui mettra pas la pression à ce sujet », a rappelé le coach new-yorkais même s'il aurait aimé voir son pivot profiter du discours sur la cohésion collective prononcé par un colonel retraité. « La personne qui est intervenue était fantastique. Je lui ai dit que je pourrai peut-être lui offrir une copie du discours pour qu’il puisse en écouter certaines parties. Mais c’est son droit. Il n’y a aucun problème. »Que Jeff Hornacek se rassure, Joakim Noah sera certainement en première ligne quand il s'agira aller au front. Mais seulement sur le terrain ! Source : New York Post