Hakeem Olajuwon, de A à Z

Technique, élégant, dominateur, Hakeem Olajuwon fête ses 59 ans aujourd'hui et reste l'un des plus beaux joueurs qu'on ait vus en NBA.

Hakeem Olajuwon, de A à Z

J comme Jordanie

Son pays d’adoption. Quand il n'est pas aux Etats-Unis pour enseigner ses moves aux stars NBA, l’ex-pivot des Rockets habite à Amman, la capitale jordanienne. Tiens, en parlant de Jordan(ie), peu d'images de duels entre Hakeem Olajuwon et le n°23 des Bulls existent. La première retraite de Jordan y est pour quelque chose, évidemment. Imaginez un seul instant une Finale Bulls - Rockets…

K comme Knicks

C'est au terme d'une Finale sous haute intensité, archi-défensive (aucune équipe à plus de 93 points sur 7 matches !), ultra-tendue (et encore, on ne parle même pas de la course poursuite d'OJ Simpson, qui aura volé la vedette des joueurs lors du match 5 au Madison…) qu'Olajuwon a enfin remporté son premier titre NBA. L'année d'avant, Jordan et les Bulls s'offraient un "three-peat". Bon, au final, le fan des Knicks Spike Lee aura quand même eu le droit à sa pub avec le Dream. C'est déjà ça.

L comme Lagos

Comme le footballeur Obafebi Martins, comme les chanteurs de P-Square, ou encore comme Michael Olowokandi, (sorte d’anti-Olajuwon ; les deux ont été draftés n°1, allez comprendre…), Hakeem Olajuwon est né dans la gigantesque capitale du Nigeria.

M comme modestie

A l’image de Tim Duncan, c’est toujours par ses actes sur le terrain que "The Dream" a fait parler de lui. De quoi forcer encore un peu plus le respect de ses pairs.

N comme Noureev (et comme Nostalgie, hein)

Le « footwork » d’Olajuwon était digne d’un danseur étoile.