ITW Alexis Ajinça : « Il y’a une très bonne alchimie »

Pour le pivot Alexis Ajinça, la principale force des Bleus réside dans sa bonne entente sur et en-dehors du terrain.

ITW Alexis Ajinça : « Il y’a une très bonne alchimie »
Il y’a des sourires, des gestes, des attitudes qui ne trompent. Les seize bleus réunis à l’INSEP ont eu plaisir à se retrouver, à tel point qu’on ne penserait pas que des mois se sont passés depuis la fin du dernier Mondial. Pour Alexis Ajinça, ce groupe très peu modifié est d’ailleurs une force pour aller « faire un truc sympa » à Montpellier puis Lille lors des phases finales de cet Euro qualificatif pour les Jo de Rio et durant lequel les Bleus auront un titre à défendre. Basketsession : Le fait d’être déjà assuré d’être dans les 12 change-t’-il ta façon d’aborder la préparation ? Alexis Ajinça : Non pas du tout. C’est juste que je suis content de pouvoir travailler dès le début avec Rudy (Gobert). Ça c’est quelque chose de vraiment bien. Basketsession : La motivation est-elle plus forte avec un Euro à la maison et un titre à défendre ? AA : Il y’a une grosse motivation mais à la fois une petite pression aussi. On sait que ça va être un gros truc, un gros évènement mais on ne se met pas trop de pression là-dessus. On essaye juste d’être focalisé sur nous-mêmes. On a hâte que ça commence. Basketsession : Et par rapport au fait de ne pas avoir pu venir l’an dernier ? AA : Pas forcément. J’ai juste la motivation de faire quelque chose de sympa avec cette équipe et de ne pas se rater. Basketsession : A vous voir à l’entrainement on a l’impression que vous vous êtes seulement quitté hier… AA : On a presque le même groupe ; il y’a juste deux nouveaux. Tout le monde s’entend très bien sur et en-dehors du terrain. Il y’a une très bonne alchimie. Basketsession : Ressens-tu une certaine effervescence au sujet de l’Euro depuis ton retour en France ? AA : Aujourd’hui oui (il sourit). Il y’a beaucoup de médias ; ça se voit que ça va être quelque chose d’assez énorme. Je vois aussi les messages des fans sur les réseaux sociaux. Il y’a toujours quelqu’un qui nous rappelle l’Euro. On y pense. On est tous dans l’optique d’y faire quelque chose.