Joel Embiid en a « plus rien à faire » de Ben Simmons !

Passablement agacé par l'attitude de Ben Simmons, l'intérieur des Philadelphia Sixers Joel Embiid n'a pas mâché ses mots devant les médias.

Joel Embiid en a « plus rien à faire » de Ben Simmons !
Le cirque Ben Simmons a repris aux Philadelphia Sixers. Et Joel Embiid a décidé de se lâcher... Alors que le retour de l'Australien au sein de l'équipe devait permettre de calmer la situation, elle devient désormais incontrôlable. Malgré les demandes de son entraîneur Doc Rivers à deux reprises, le jeune talent a refusé lundi de participer à un exercice défensif. Déjà agacé par le manque d'investissement de son joueur, le coach a ensuite décidé de le virer de l'entraînement. Dans la foulée, le natif de Melbourne a ainsi reçu une suspension par son équipe pour le premier match de la saison. Invité à revenir sur ces événements face à la presse, Embiid n'a pas mâché ses mots.
"Je tente de gagner. Et pour gagner, tu te dois d'avoir cette relation avec tes coéquipiers. Je l'ai avec tous. Mais au final, notre job n'est pas de faire du baby-sitting. Nous sommes payés pour jouer sur le parquet, être dur et gagner des matches. Nous recevons de l'argent pour ça, pas pour faire du baby-sitting. Ce n'est pas boulot, je suis certain que mes coéquipiers ont le même sentiment. A ce stade, j'en ai plus rien à faire de ce mec. Il fait ce qu'il veut. Il ne s'agit pas de mon boulot. C'est celui des dirigeants. Je suis ainsi uniquement concentré sur le fait de rendre l'équipe meilleure, de gagner des matches, de jouer dur tous les soirs, de mener les gars que nous avons et qui ont envie d'être ici. Donc, comme je l'ai dit, lui, je m'en fous vraiment", a insisté Joel Embiid.
Comment peut-on imaginer un avenir de Ben Simmons aux 76ers ? Il ne veut clairement plus jouer pour cette équipe et va "pourrir" l'ambiance par sa présence. La sortie de Joel Embiid le prouve, cette situation a un impact néfaste. Philadelphia va rapidement devoir trouver une solution viable... Kyrie Irving contre Ben Simmons, c’est non et encore non