La NBA craint que l'Oklahoma City Thunder devienne encore plus fort
Le Thunder affiche un improbable 20-1, domine la ligue au net rating et semble déjà armé pour plusieurs années. Pourtant, l’équipe de Shai Gilgeous-Alexander pourrait encore faire un bond en avant. Ce qui effraie le reste de la NBA.
Selon Tim MacMahon dans le podcast Hoop Collective, plusieurs front offices sont « en panique » à l’idée que Oklahoma City possède le pick des Clippers en 2026. « Je suis vraiment sérieux », a-t-il ajouté.
Dans le même podcast, Brian Windhorst rappelle que le classement des Clippers actuellement équivaudrait au 5e (ou 6e) pick. Pire, ils disposent du choix du Jazz si celui-ci n’est pas entre 1 et 8. Ça tombe bien, leur place actuelle équivaudrait au 9e pick.
Certes la saison est encore longue, mais 20 matches représentent une tendance forte. Le Thunder pourrait donc avoir deux picks dans le Top 10 à la Draft 2026. Et peut-être un troisième dans le Top 15 avec celui (protégé 1-5) des Sixers.
Un contender qui pourrait ajouter deux jeunes stars
Ce qui inquiète les autres franchises, c’est donc l’idée qu’un champion en titre puisse mettre la main sur deux talents top 10 dans une cuvée 2026 annoncée très dense, avec Darryn Peterson, Cameron Boozer ou AJ Dybantsa en têtes d’affiche.
OKC n’a pourtant besoin d’aucune aide. Le trio Shai Gilgeous-Alexander, Jalen Williams et Chet Holmgren est verrouillé jusqu’à au moins 2030, sans aucune incertitude contractuelle. À seulement 27, 24 et 22 ans, ils incarnent déjà l’un des noyaux les plus dominants et les plus pérennes de la NBA.
Si on ajoute à cela deux jeunes prospects sous contrat rookie, la situation devient presque indécente pour le reste du championnat. Surtout que le reste du roster est déjà excellemment constitué.
Un avantage rarissime pour une équipe déjà au sommet
Un contender obtient rarement ce type d’opportunité. Avec ces deux picks, Sam Presti pourrait :
- renforcer l’équipe à long terme,
- sécuriser la rotation à moindre coût,
- ou même construire un package pour un trade majeur.
Dans tous les cas, la flexibilité que ces choix lui offrent face à la future luxury tax est immense. Le Thunder, déjà champion, déjà favori, déjà injouable, pourrait encore s’élever sans sacrifier son avenir.
Ce mélange de domination sportive, de jeunesse verrouillée et de capital draft exceptionnel crée un scénario que la NBA n’avait plus vu depuis longtemps.
Les concurrents s’inquiètent, et on les comprend : l’Oklahoma City Thunder n’est peut-être qu’au début de son règne.

Si une équipe récupère un futur MVP via un trade, elle rendra tous les choix de draft récupérés durant le transfert.
Après, ça n'arrive pas si souvent que ça mais bon, les Clippers doivent se mordre les doigts de ce trade pour Paul George.
Ils ont très bien travaillé, en comparaison à d’autres.
Il,mérite ce qu’il leur arrive, bien sûr y a un peu de chances mais ils ont aussi su faire les choix qui,leur ont mis dans cette situation
Par oui, comme déjà dit, aucun doute pour que le Jazz tank comme il faut, la saison vient juste de commencer