« Financièrement, j’ai été un président très responsable », a expliqué Phil Jackson aux médias vendredi. « Je ne pense pas que j’ai réellement eu de bonnes opportunités en terme de recrutement, mais nous avons réussi à nous mettre dans une position où on pouvait opérer en tant qu’équipe de basket. C’était notre premier objectif. On a dû manger de la bouse pendant ce process et on devait vivre avec ça. »Après avoir mangé son pain noir, ou sa merde puisque Phil Jackson semble être dans ce champ lexical, les New York Knicks ont désormais le potentiel pour jouer un rôle en playoffs. Seules les blessures pourraient les en empêcher. Ou les problèmes judiciaires de Derrick Rose. Mais là encore, avec un backup du calibre de Brandon Jennings, Phil Jackson peut être optimiste. Après, ça reste les Knicks, une franchise pas comme les autres, qui a su prouver au fil des années que même lorsqu'on a touché le fond, on peut toujours creuser encore un peu...
Phil Jackson : « On a dû manger de la… bouse »
Après des débuts plutôt galères sur le plan sportif, Phil Jackson voit enfin le futur avec optimisme.
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