Lors de sa poursuite, O.J. Simpson voulait entendre la fin du Game 5

L’affaire O.J. Simpson avait fait énormément de bruit en 1994. Un documentaire qui la reprend en détail nous apprend une anecdote complètement folle.

Lors de sa poursuite, O.J. Simpson voulait entendre la fin du Game 5
Un documentaire intitulé "June 17th, 1994" a repris en détails l’affaire O.J. Simpson qui avait fait beaucoup de bruit aux États-Unis à l’époque. On y apprend une anecdote incroyable qui concerne de Game 5 des Finales NBA 1994. Pour mieux la comprendre, il faut recontexctualiser l’affaire. L’ancien joueur de NFL O.J. Simpson était accusé d’avoir tué son ex femme, qui avait demandé le divorce en 1992 pour violences conjugales, et son compagnon le 12 juin 1994. Les avocats de l’ancien MVP avait alors convaincu la police de Los Angeles de le laisser se rendre le 17 juin. Ce jour là, un ami de Simpson a lu une lettre de l’ancien joueur aux journalistes présents devant sa maison, qui disait "D’abord, vous devez comprendre que je n’ai rien à voir avec le meurtre de Nicole. Ne soyez pas désolé pour moi. J’ai eu une belle vie". Tout le monde pense donc qu’il veut se suicider et les recherches s’intensifient. Mais plus tard dans la journée, un shérif repère la voiture d’O.J. Simpson en direction du Nord et le conducteur, un ami de l'accusé, lui crie que Simpson a un pistolet braqué sur sa tête. La course poursuite continue donc à basse vitesse, parce que le shérif ne veut pas prendre de risque. Sauf que dans le fameux documentaire, on apprend par Jeff Van Gundy, une anecdote croustillante qui lie Pat Riley, qui coachait les New York Knicks contre les Houston Rockets en Finales NBA 1994, à cette affaire.
"Cet été là, Pat Riley revenait toujours à L.A. Il avait une maison là bas. Et il a croisé le conducteur de la voiture (de Simpson lors de la course poursuite), A.C. Cowlings, à une station de lavage. Cowlings connaissait le coach Riley de nom et a commencé à lui raconter pourquoi il conduisait si lentement ce jour-là. O.J. Simpson voulait entendre la fin du match à la radio avant de tirer. Et quand Riley nous a raconté cette histoire, j’étais fasciné par ce qui s’était vraiment passé. Je l’imaginais avec le pistolet sur sa tête lui dire ‘Allume la radio, A.C., je veux entendre les dernières minutes'."
Une anecdote tout simplement incroyable !