Robin Lopez explique (enfin) pourquoi il déteste les mascottes

Le nouveau pivot des New York Knicks Robin Lopez est autant connu pour ses exploits sur les parquets que pour son aversion des mascottes. Il vient enfin de révéler pourquoi il déteste tant ces grosses peluches.

Il y aura de la castagne l'an prochain du côté des New York Knicks. Du moins entre leur nouveau pivot, Robin Lopez, et les mascottes de toutes les autres franchises NBA. L'ancien intérieur des Portland Trail Blazers a en effet développé une phobie qui l'amène à se prendre le bec avec les hommes déguisés, et ce à chaque déplacement de son équipe. Une aversion dont on peinait à cerner l'origine, et sur laquelle le pivot est revenu dans un entretien accordé au Bleacher Report.
« Lors de mes premières rencontres avec les mascottes, elles n'étaient pas vraiment ouvertes envers moi », raconte-t-il. « J'étais un enfant très grand pour son âge. J'ai toujours eu l'air plus vieux que je ne l'étais. Je pense ne jamais avoir reçu l'attention nécessaire de la part de ces mascottes. »
https://www.youtube.com/watch?v=8wNDJsMN_zQ La genèse de cette relation est donc désormais connue. Tout comme les deux pires ennemis du NBAer, qui lui ont causé réellement du tort :
« Je déteste vraiment la mascotte des Detroit Pistons, Hooper. J'ai eu beaucoup de 'beefs' avec elle depuis très longtemps. Je ne sais pas pourquoi, elle a juste commencé à s'en prendre à moi. Je me rappelle que Brook (Lopez, son frère, ndlr) l'a frappée puis elle s'en est prise à moi pour aucune raison. » « La seule mascotte qui m'a vraiment battu, c'est le Grizz des Memphis Grizzlies. Il m'a collé une affiche 'Frappe-moi' dans le dos. Je pensais qu'il voulait faire la paix, mais il m'a pris par surprise. »
https://www.youtube.com/watch?v=nRrQ0NAcAnc Avec le pivot, Sigmund Freud aurait certainement trouvé un cas d'école pour mettre en lumière ses théories, les traumatismes subis par le joueur dans son enfance ayant toujours des répercussions sur son comportement pour le moins étonnant. Robin Lopez conclue :
« Je pense faire un travail humanitaire. J'essaie de devenir un héros. »
Un peu d'humour dans ce monde de brutes, ça ne fait vraiment pas de mal.