Nos destinations préférées pour Zion Williamson en NBA

6- Phoenix Suns

Probabilité d'avoir le 1st pick : 14% Les Suns n'ont pas eu droit à une éclaircie nommée LeBron James pour braver le mauvais temps. Phoenix vient de drafter quatre fois de suite dans la loterie et trois fois dans le top 4. Des équipes comme OKC sont parvenues, à l'époque, à devenir compétitives par ce biais. Les Suns, eux, ont fait ce qui s'apparente à une bonne affaire en récupérant Devin Booker (13e pick en 2015), mais ont visé à côté deux fois avec Dragan Bender (3e pick en 2016) et Josh Jackson (4e pick en 2017). On peut même aller jusqu'à dire que Deandre Ayton, aussi intéressant soit-il, n'aurait pas dû être leur 1st pick en 2018 tant Luka Doncic domine les débats du rookie de l'année. Après ces quatre saisons dans les bas fonds, on cherche encore la dynamique positive et les espoirs suscités par fulgurances ces dernières saisons ont du mal à revenir. Robert Sarver, le propriétaire le plus interventionniste, et James Jones, le GM intérimaire qui tâtonne sévèrement depuis sa nomination, ne sont pas les garants d'une atmosphère positive pour Zion Williamson s'il finit en Arizona. La franchise en elle-même conserve un côté sympathique généré par le souvenir des années 90 et l'identité graphique toujours agréable. C'est à ce titre que l'on n'a pas classé Phoenix au 8e rang. Sur le plan sportif, il y a théoriquement de quoi faire. Simplement, Igor Kokoskov n'a pas encore trouvé la bonne formule, ni prouvé qu'il pouvait être mieux qu'un assistant en NBA. Peut-être qu'une raquette Zion-Ayton l'aidera à démontrer le contraire. Comme ça, de prime abord, on ne militera pas pour un deuxième 1st pick consécutif pour les Suns...