Bien qu’à la ramasse, les Wolves vont quand même payer la Luxury Tax

L’équipe de Minnesota a négocié un buyout avec Allen Crabbe mais son départ ne suffit pas à faire passer les Wolves sous le seuil de l’impôt sur la fortune en NBA.

Bien qu’à la ramasse, les Wolves vont quand même payer la Luxury Tax
Minneapolis attend toujours que sa franchise de basket retrouve le haut du tableau en NBA. Il y a eu une petite éclaircie – une campagne de playoffs il y a deux ans – puis les Wolves ont replongé dans les profondeurs du classement. Ils sont actuellement avant-derniers à l’Ouest avec 17 victoires pour 42 défaites. Le plus ironique, ou triste, c’est que l’organisation s’apprête pourtant à payer la Luxury Tax en raison d’une masse salariale trop élevée. Les dirigeants ont pourtant libéré Allen Crabbe via un buyout. Mais l’ailier n’a sacrifié qu’une partie de ses émoluments. Il faudrait encore au moins un ou deux départs pour passer sous le seuil. Les Wolves espèrent se reconstruire dès l’an prochain avec Karl-Anthony Towns et D’Angelo Russell, qu’ils ont récupéré aux Golden State Warriors en cours de saison. Les deux All-Stars sont titulaires de contrats au montant maximum… ils devront donc prouver qu’ils peuvent mener l’équipe vers les sommets.