"S’il se contente de défendre et de faire tourner le ballon, c’est déjà assez pour nous. […] Il y a d’autres moyens (que le scoring) d’impacter le jeu", maintient Casey.Le septième choix de la draft 2020 n’a jamais été un grand scoreur depuis son arrivée en NBA. Cependant, on l’imagine difficilement y faire carrière s’il ne parvient pas à rentrer ses shots. L’année prochaine, après la draft et le retour de Cade Cunningham, trouver du temps de jeu dans l’effectif sera plus compliqué.
"Il doit retrouver de la joie dans le jeu. […] Il en avait en lui avant qu’on aille en France, il l’a un peu perdue et il doit la retrouver", a indiqué son coach.Il reste encore 21 matches à Killian Hayes pour redresser le tir — sans mauvais jeu de mots. Cette dimension de son jeu représente peut-être le plus grand point d’interrogation pour la suite de sa carrière. Comme l’été dernier, il en fera probablement le principal axe de travail de son intersaison. [ITW] Killian Hayes, son ascension, les critiques et Wembanyama
