"Il faut s'adapter à l'époque. La NBA a énormément changé depuis que je l'ai quittée en 2013. Chaque génération est différente et il faut s'adapter à elle. Il n'y a plus besoin d'engagement qui impliquerait que si un joueur veut disputer les JO, il doit être présent ici ou là. Je comprends pourquoi ce système a été adopté et il a fonctionné. Mais on a eu le sentiment qu'il fallait changer ça".Le risque est important de voir à nouveau une Team USA bis, pour ne pas dire plus, se pointer au Mondial. Mais en contrepartie, on imagine que Steve Kerr, nouveau head coach de la sélection, aura à sa disposition une armada à la force de frappe impressionnante à Paris. C'est peut-être un poil optimiste, mais les Etats-Unis pourraient très bien débarquer dans la capitale française avec quelques monstres sacrés qui auraient envie de vivre une dernière campagne avec leur pays. Au hasard : LeBron James, Stephen Curry, Kevin Durant... Quelque chose qui ressemblerait à une Dream Team version 2023. Ce ne serait évidemment pas une bonne nouvelle pour les chances de médaille d'or de l'équipe de France, mais pour les chanceux qui auront la chance d'avoir des billets pour les matches de Team USA, en revanche... La punchline d’Evan Fournier sur l’équipe de France et Team USA
Team USA : une équipe bis au Mondial… avant une Dream Team aux JO à Paris ?
Grant Hill, le nouveau boss de Team USA, a assoupli les conditions pour intégrer Team USA. Une bonne et une mauvaise nouvelle à la fois.

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