Premier entraînement avec les Suns et Dillon Brooks a déjà monté le volume à 11 : hyper vocal, contacts bien sentis, rythme sec. Le genre de session où on ressort en sueur et un peu vexé.
La presse locale confirme l’ambiance. Au media Day, on parlait déjà d’un Brooks taillé pour « transformer le vestiaire » et apporter le sérieux défensif qui manquait. Le lendemain, Day 1 de training camp, il détaille son plan : étudier les adversaires, tirer la jeune garde vers le haut… et assumer le “villain role” si besoin.
Le décor côté Phoenix ? Devin Booker valide l’arrivée du gars « qu’on déteste en face, qu’on adore avec soi », Mat Ishbia parle d’un cible prioritaire pour rehausser l’exigence, et le staff insiste : travail, défense.
Brooks n’est pas là pour faire du macramé. Son business, c’est : mettre la pression, secouer les habitudes molles et coller un standard quotidien qui pique (mais qui gagne en avril).
La fanbase locale a d’ailleurs déjà noté le shift d’énergie post–Media Day, avec les nouveaux (Brooks, Jalen Green) qui “disent les bonnes choses” et un camp lancé pleine balle.
Le meilleur résumé vient de… Dillon Brooks lui-même : “If you meet me, you like me. If you play against me, you don’t.”
Les coéquipiers ont rencontré la version “on your team”. Les scrimmages, eux, ont aperçu la version “against you” — sauf que c’était pendant l’entraînement. Bon courage aux titulaires de spots mous.
