Victor Wembanyama qui fait passer des auditions pour une section « Ultras » dans la salle des Spurs ? Pas qu’une bonne idée 😂

Wembanyama fan

Depuis son arrivée en NBA, Victor Wembanyama ne se contente pas d’impressionner par ses stats (plus de 20 points, 10 rebonds et 3 contres de moyenne). Le Français veut aussi révolutionner l’expérience spectateur au Texas. Sa dernière trouvaille : organiser des auditions pour créer une section “Ultras” officielle, censée transformer la salle des Spurs en chaudron bruyant à chaque match.

Le principe est simple : les fans intéressés passent devant un jury, démontrant leur motivation, leur énergie et surtout leur endurance vocale. Et à voir les premières images, le casting promet... On a notamment pu découvrir une jeune supportrice qui hurlait comme si sa vie en dépendait. Si tout le groupe est du même niveau sonore, il faudra penser à distribuer des bouchons d’oreille avec chaque ticket de match.

Côté franchise, le discours est clair. “Nous voulons des fans passionnés, capables d’apporter du soutien constant à l’équipe, mais toujours dans le respect de l’esprit NBA”, a rappelé un porte-parole des Spurs. Autrement dit : ambiance oui, hooliganisme non. En attendant, le parallèle avec les tribunes de Ligue 1 fait sourire. Tambours, chants répétés à l’infini, drapeaux… et peut-être bientôt une Ola version texane ?

L’idée divise déjà les supporters. Certains saluent l’initiative de Wembanyama, qui a grandi dans des ambiances européennes où les tribunes jouent un rôle central. D’autres craignent un résultat “cacophonie garantie”, surtout si les auditions continuent de mettre en avant des candidats capables de casser un micro en trente secondes.

D’un point de vue sportif, l’effet recherché est limpide : créer une atmosphère intimidante pour donner un avantage aux Spurs, actuellement en reconstruction. Si le public réussit à se transformer en sixième homme bruyant et discipliné, cela pourrait peser dans une Conférence Ouest ultra-compétitive. Dans le cas contraire, les adversaires risquent surtout de sourire devant une fanfare improvisée plus proche d’un karaoké endiablé que d’une vraie section “ultras”.

Wembanyama veut un kop de supporteurs à San Antonio : pourquoi ça peut être compliqué

à 1000 euros l'entrée c'est aussi une bonne affaire financière.
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Si ça devient comme au foot, ça peut se transformer en très mauvaise idée.
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