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Fab B
@Fab
On a tous fait ca étant gamin je crois. Tout comme faire son équipe dans NBA 2K que ce soit avec Kuroko, Slam Dunk ou meme Dream Team. Ca m'a fait de belles heures de jeu !
Le pendant de Captain Tsubasa version basket. Malgré le côté un peu "pop-corn", ça reste plaisant et prenant. Et même si, au premier coup d'œil, on ne voit pas de liens évidents avec la grande ligue, il est facile — notamment avec ton idée de "fils de" — d’arriver à trouver des équivalences très fun. Globalement, ça marche bien, notamment pour Kuroko et Kise, où ça saute immédiatement aux yeux. L’exercice pour les autres est très sympa aussi.
Je vais me refaire quelques épisodes, histoire de me remettre tous les persos en tête et voir si moi aussi j’identifie le même genre de joueurs.
Je vais me refaire quelques épisodes, histoire de me remettre tous les persos en tête et voir si moi aussi j’identifie le même genre de joueurs.
J’habite du côté de Carcassonne là où c’est vide 😂
Toulouse y a du basket, Montpellier y a du basket, au milieu y a que mes baskets 😂
Toulouse y a du basket, Montpellier y a du basket, au milieu y a que mes baskets 😂
En plus des raisons que tu as citées — que je classerais comme purement « spectateur », et je ne dis pas ça de manière péjorative (j’en suis un aussi) — j’ajouterais, à titre personnel, que je suis arrivé à ce statut de spectateur de façon logique, en venant de la pratique. Et certains points reviennent dans les deux cas !
Quand tu joues, il y a l’adrénaline, l’incertitude, la rigueur, le feu qui brûle, que tu gagnes ou que tu perdes. Il y a cette transmutation au sein de l’équipe, le lien qui se crée avec de nouveaux coéquipiers, le partage essentiel des différentes visions de ce sport, qui enrichissent la tienne — et que tu peux ensuite appliquer en tant que spectateur.
J’aime regarder tous les types de basket, que ce soit de la NBA ou du championnat départemental. Même si parfois le niveau est complètement claqué au sol, et qu’en départemental on retrouve plutôt Michel Jourdan, star de son village, il y a toujours du bon à prendre.
Ça reste élégant, tous niveaux confondus : une mécanique de shoot, qu’elle soit en NBA ou ailleurs, doit être propre pour être efficace ; les drives avec protection du corps, les systèmes offensifs ou défensifs bien pensés…
C’est, en termes de sport pur, quelque chose qui m’anime profondément, que j’adore analyser. Et à côté de ça, il y a tout l’aspect hors terrain — comme tu l’as dit, les stats, qui donnent à ce sport une dimension de « série » sans fin. La NBA l’a bien compris avec sa manière de créer des « narratives » : des records, des histoires humaines, des challenges, de la médiatisation, des légendes… Tout ça fait vivre ce sport de manière incroyable.
Et puis il y a, à mes yeux, l’aura de la NBA. Aujourd’hui elle est facilement accessible, mais dans mes jeunes années, c’était une autre histoire. Je me souviens encore de Canal+ diffusant les matchs, et de nous tous réunis chez le seul pote qui avait le décodeur, pour regarder les matchs en pleine nuit — un petit événement qui marque et grave encore plus profondément la passion. (Attention au changement d’heure, sinon le match du premier samedi du mois laisse parfois place à… un autre genre de match !)
Aujourd’hui, tous les points que tu as cités, plus l’amour du jeu, et la couverture passionnée de quelques médias français, contribuent à rendre glamour un sport qui, dans certaines régions (comme la mienne), peine encore à exister !
Quand tu joues, il y a l’adrénaline, l’incertitude, la rigueur, le feu qui brûle, que tu gagnes ou que tu perdes. Il y a cette transmutation au sein de l’équipe, le lien qui se crée avec de nouveaux coéquipiers, le partage essentiel des différentes visions de ce sport, qui enrichissent la tienne — et que tu peux ensuite appliquer en tant que spectateur.
J’aime regarder tous les types de basket, que ce soit de la NBA ou du championnat départemental. Même si parfois le niveau est complètement claqué au sol, et qu’en départemental on retrouve plutôt Michel Jourdan, star de son village, il y a toujours du bon à prendre.
Ça reste élégant, tous niveaux confondus : une mécanique de shoot, qu’elle soit en NBA ou ailleurs, doit être propre pour être efficace ; les drives avec protection du corps, les systèmes offensifs ou défensifs bien pensés…
C’est, en termes de sport pur, quelque chose qui m’anime profondément, que j’adore analyser. Et à côté de ça, il y a tout l’aspect hors terrain — comme tu l’as dit, les stats, qui donnent à ce sport une dimension de « série » sans fin. La NBA l’a bien compris avec sa manière de créer des « narratives » : des records, des histoires humaines, des challenges, de la médiatisation, des légendes… Tout ça fait vivre ce sport de manière incroyable.
Et puis il y a, à mes yeux, l’aura de la NBA. Aujourd’hui elle est facilement accessible, mais dans mes jeunes années, c’était une autre histoire. Je me souviens encore de Canal+ diffusant les matchs, et de nous tous réunis chez le seul pote qui avait le décodeur, pour regarder les matchs en pleine nuit — un petit événement qui marque et grave encore plus profondément la passion. (Attention au changement d’heure, sinon le match du premier samedi du mois laisse parfois place à… un autre genre de match !)
Aujourd’hui, tous les points que tu as cités, plus l’amour du jeu, et la couverture passionnée de quelques médias français, contribuent à rendre glamour un sport qui, dans certaines régions (comme la mienne), peine encore à exister !