[caption id="attachment_278119" align="alignright" width="318"] Delly au combat, au sol. #classicshit[/caption] "Matthew joue aussi dur qu'il peut à chaque match, c'est précieux. Il joue juste et n'a pas peur. Dans ses prestations, il y a du courage. A vrai dire, c'est l'Australien qui ressemble le plus à un gars de Cleveland que j'ai jamais rencontré. Si vous connaissez les gens ici, vous savez de quoi je parle", a plaisanté David Blatt (lire la suite).
Le Comeback des Warriors, le réveil de Curry
Revenus à un point, après avoir connu 20 points de retard, grâce à l'épatant réveil de Stephen Curry (17 de ses 27 points dans le dernier quart-temps) et aux bons coups tactiques de Steve Kerr (qui a relancé David Lee et testé plusieurs compositions très small-ball), les Golden State Warriors n'ont pas su mettre le dernier coup de collier pour renverser leurs adversaires. A défaut de l'avoir emporté à la Q Arena, Golden State peut au moins s'appuyer sur sa fin de match pour ne pas sombrer dans la dépression.« Ces trois-points que Curry a réussis dans le quatrième quart-temps, ce sont les mêmes qu'il a ratés dans les trois premiers. C'est un grand shooteur », a déclaré LeBron James après la rencontre. (Lire la suite)[caption id="attachment_278161" align="alignright" width="318"] Curry est enfin sorti de l'ombre de James, mais trop tard...[/caption] Les Cavaliers ont tremblé durant les dernières minutes de la rencontre, encaissant un 13-2 qui a permis aux Warriors de revenir à 74-68. Puis un énième trois-points du MVP remettant Golden State à 94-91 à 19 secondes de la fin du match. Mais avant le dernier quart-temps, la prestation des joueurs de la Bay Area avait été tout bonnement désastreuse, autant grâce à la défense admirable des Cavs que par leur manque d'inventivité et d'adresse. Sans un retour à la normale pour Draymond Green, hyper décevant et presque handicapant, ou Harrison Barnes, les champions de l'Ouest auront du mal à éviter une nouvelle défaite dans la nuit de jeudi à vendredi...
« Je n'ai pas aimé notre énergie. Je n'ai pas aimé notre language corporel la plupart du temps lors des trois quart-temps. Nous devons nous battre contre ça. Même si les choses ne vont pas dans notre sens, ce n'est pas grave. Il faut te battre, il faut que tu montres de l'énergie. Tu dois redonner vie à ton équipe, amener de l'émotion. C'est une série difficile, et il y a beaucoup d'enjeu, donc il faut se battre chaque seconde », déclarait Steve Kerr (lire la suite)