“Au début des années 1950, on ne pouvait pas voir de basket à la télévision. […] Le seul contact réel que j’ai eu, c’est de voir des matchs de pros dans les actualités. Les Movietone News diffusaient les temps forts. Je me souviens d’avoir été vraiment frappé par les Boston Celtics. J’avais l’habitude de lire des articles sur eux dans les pages sportives dans les années 50, à la fin de mon adolescence. Je regardais des extraits dans les actualités, et j’ai été très influencé par ce que j’ai vu de Bob Cousy. Il semblait incroyable, un magicien absolu du basket. J’ai donc continué à suivre les Celtics en grandissant, et les matchs ont commencé à être diffusés à la télévision.”Un jour, alors qu’il est invité à faire un discours au College of the Holy Cross à Worcester, Massachusetts, Friedkin rencontre Bob Cousy avec qui il se lie d’amitié. Ce dernier le présenta à Red Auerbach avec qui le courant passa très bien. Red admirait Friedkin pour son travail sur French Connection. Forcément, avec de telles amitiés, Friedkin gravitait de plus en plus autour des Celtics. Si bien qu’un jour, Irv Levin, propriétaire des C’s et producteur de films lui proposa de lui racheter un tiers de ses parts. LA SUITE SUR LE BASKETOGRAPHE. Polanski, caravane et nudité : l’histoire folle sur Jack Nicholson et les Lakers
Quand le réalisateur de l’Exorciste a failli s’offrir les Boston Celtics
Juste avant l'arrivée de Larry Bird, William Friedkin, le réalisateur hollywoodien, a failli devenir propriétaire des Celtics et cela aurait changé la face de l'histoire.

Exprimez-vous