Quand on roule à 200 km/h, mieux vaut s’appeler Michael Jordan

Charles Oakley et Michael Jordan ont fait quelques bêtises au volant à l'époque, mais ont été sauvés par leur notoriété. Enfin, surtout celle de MJ...

Quand on roule à 200 km/h, mieux vaut s’appeler Michael Jordan

S'appeler Michael Jordan peut être pratique pour éviter une contravention ou une arrestation... Charles Oakley, actuellement en promotion pour la sortie de son livre "The Last Enforcer", a raconté que son célèbre ami et lui avaient l'habitude de pousser un peu trop sur le champignon à l'époque où ils jouaient ensemble pour les Chicago Bulls.

"On prenait souvent la voiture ensemble pour bouger. Un jour, on était sur l'autoroute et on roulait à 180-190 km/h. A un moment, on a senti qu'une voiture nous rattrapait et s'approchait de nous. Donc on a accéléré jusqu'à 200, 220 km/h.

Trois kilomètres plus loin, environ 20 voitures de police nous attendaient. Ils avaient bloqué la route pour nous empêcher de passer. On s'est arrêtés et on est sortis de la voiture. Ils sont venus vers nous pour enregistrer nos identités et là... : "Oh, Monsieur Jordan ! Nous sommes désolés, ralentissez un peu, on se voit la semaine prochaine", a raconté Oakley sur ESPN.

La célébrité a des inconvénients, mais aussi quelques avantages... Heureusement, après ça, Michael Jordan et Charles Oakley ont calmés un peu leurs ardeurs automobiles et ont évité les ennuis, jusqu'au départ de Oakley pour New York en 1988. Ils ont tout de même continué de faire les quatre cents coups ensemble par la suite et sont toujours proches à ce jour. Ils ont simplement remplacé les virées en voiture par des barbecues avec Charles Oakley dans le rôle du cuistot.

John Rogers, le businessman qui a battu Michael Jordan en un contre un