Cette fois, ce n’est pas Bronny… c’est Bryce. Et devinez quoi ? LeBron a (encore) tendu le micro familial. Résultat : le cadet James se retrouve au centre de l’attention, avec compliments appuyés et comparaisons inévitables.
Sur Instagram, LeBron James a posté une photo de son cadet, avant la saison NCAA, en lâchant un clin d’œil musclé : en gros, “il devient sacrément costaud”. Résultat, un simple post devient un sujet national. Classique maison.
LeBron gives Bryce a shoutout on IG:
“Damn he’s getting jacked!!” 💪🔥 pic.twitter.com/GImYjNczO7
— LakeShowYo (@LakeShowYo) September 18, 2025
Le contexte : un feed, un biceps, un buzz
L’image montre Bryce James bien affûté, façon salle de muscu, timing parfait à l’approche de la fac. Chez n’importe qui, ça passerait crème. Chez les James, ça déclenche scouting sauvage, threads, spaces, débats. Le message est positif, l’effet collatéral l’est moins : la pression grimpe d’un cran.
Bryce progresse, polie son tir, gagne du coffre. Mais chaque louange publique transforme une étape normale en examen général. Les comparaisons pleuvent, la courbe d’apprentissage se retrouve sous loupe. Et quand LeBron appuie sur “Partager”, l’algorithme fait le reste : impossible de grandir à l’ombre quand l’ombre vient d’une supernova.
Bryce, 1,96 m pour 88 kg, arrive à la fac avec l’étiquette d’arrière 3 étoiles. Formé à Sierra Canyon (Chatsworth, Californie), il était classé n°55 chez les arrières aux États-Unis et n°28 des prospects en Californie. Et il débarque dans un programme qui devrait compter en 2025-26 : Arizona pointe n°13 dans le way-too-early d’ESPN et n°17 pour USA Today. Autrement dit, visibilité maximale, concurrence dense.
Entre fierté paternelle et surcharge médiatique
Ambivalence totale. Un père fier, rien de plus humain. Sauf qu’ici, chaque story pèse autant qu’un communiqué. Pour Bryce, l’enjeu sera de garder le tempo : bosser, respirer, tracer son propre sillage. Le talent ne manque pas ; il lui faut surtout de l’espace. Peut-être ce que Bronny n'a pas eu suffisamment...
Chez les James, la lumière ne s’éteint jamais. Et même quand LeBron veut simplement encourager, ses fils finissent… en plein faisceau.
Bronny James membre régulier de la rotation des Lakers l’an prochain ?
Sur le sujet, on voit une grosse fierté paternelle, et une hype bien entretenue depuis longtemps sur Bryce. Avec le scouting et l'attention qui est sur lui depuis longtemps, on sait qu'il a plus de basket que Bronny, un meilleur handle, une finition au panier supérieure... Peut-être pas un bon tir à 3pt encore.
Avec une bonne saison NCAA, on est à peut près sûr qu'il sera drafté, et ça sera certainement moins scandaleux que son frère aîné.
Ca t'ennuie de m'envoyer un email pour me préciser le bug que tu rencontres stp ?
guillaume.reverse@gmail.com
Merci pour ton aide, on va essayer de corriger ça au plus