Les 30 punchlines les plus folles de Charles Barkley

Les 30 punchlines les plus folles de Charles Barkley

Moulin à parole, roi de la pique et de la petite phrase qui fait mouche, Charles Barkley a une collection de punchlines assez incroyables.

Antoine PimmelPar Antoine Pimmel | Publié  | BasketSession.com / MAGAZINES / Focus

Qu'on l'aime ou non, Charles Barkley sait parfois nous régaler. La preuve avec 30 de ses meilleures punchlines.

- Juste après avoir pris sa retraite : « Et bien voilà, c’est exactement ce dont l’Amérique a besoin : un autre noir sans boulot. »

- Quand Ernie Johnson lui a demandé s’il avait obtenu son diplôme à l’université d’Auburn : « Non, mais il y a deux gars qui bossent pour moi qui l’ont eu. »

- Encore à propos d’Auburn : « Quand on m’a recruté, on m’a emmené dans un club de strip-tease. C’est en voyant ces seins que j’ai su qu’Auburn correspondait à mes critères académiques. »

- Quand son coach à Auburn lui a demandé de se remettre en forme : « Rond, c’est une forme. »

- Après une saison 1998-1999 très décevante pour les Houston Rockets, Scottie Pippen a allumé Charles Barkley dans la presse. Il a aussi dit aux journalistes qu’il ne s’excuserait pas auprès de Chuck « même avec un flingue sur la tempe. » Ce qui donne lieu à la réponse glaciale mais drôle de Barkley : « Comme vous le savez, je me balade toujours avec une arme. Donc si je suis arrêté pour meurtre, vous saurez tous qu’il ne s’est pas excusé. »

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- Charles Barkley, avant de jouer l’Angola en ouverture du tournoi des Jeux Olympiques de 1992 à Barcelone : « Je ne connais rien de l’Angola mais je sais qu’ils sont dans la merde. »

- Et juste après avoir envoyé un joueur angolais au sol : « Si ça se trouve, ce mec n’avait pas mangé depuis trois jours. »

- Avant les JO 92, là encore : « La seule formation capable de nous battre est l’équipe féminine des États-Unis. »

- Au sujet de Larry Bird, en 1991 : « Tant qu’il sera dans la ligue, je serai le deuxième plus mauvais défenseur du championnat. »

- Sur ses aptitudes aux rebonds : « ça me fait toujours rire quand on me demande ma technique aux rebonds. Je n’en ai qu’une : attraper cette putain de balle. »

- Alors que son coéquipier Oliver Miller l’a aidé à se raser le crâne : « Oliver ne sait pas jouer. Il est juste là pour me couper les cheveux. On l’a drafté il y a deux ans pour avoir un barbier dans l’équipe. »

- Toujours sur Oliver Miller, qui pesait près de 130 kilos : « Tu ne peux même pas toucher l’arceau en sautant. A moins qu’il mette un Big Mac dessus. »31

- Le poids, encore une fois, mais cette fois-ci à Stanley Roberts, lui aussi au-dessus des 130 kilos : « Hey Stanley, tu pourrais être un super joueur si tu apprenais juste à dire deux mots : ‘je suis plein’. »

- Une autre sur les kilos : « On dit qu’une caméra vous ajoute 4 kilos. Sachez que j’ai six caméras braquées sur moi à cet instant. »

- Barkley et son rapport à l’argent : « Je peux être acheté. Si le prix est bon, je pourrais bosser pour le Ku Klux Klan. »

- Engagé dans une bagarre dans un bar, Charles Barkley a jeté un homme par la fenêtre du premier étage. Au tribunal, la juge lui a demandé s’il avait des regrets. Sa réponse, culte : « Ouais, je regrette que nous n’étions qu’au premier étage. »

- En parlant des Bulls au début des années 2000. « Ils sont nuls. C’est juste une bande de lycéens payés 70 millions de dollars. Putain ! Je déteste ma mère pour m’avoir fait dix ans trop tôt. »

- Charles Barkley, amateur de fins programmes : « Si j'avais un bon agent, je serais sur l’île de la Tentation. J'aimerais être au milieu de ces gonzesses à moitié à poil. C'est vraiment de la télévision de qualité. »

- Au sujet de son modèle signature de chaussures : « Ce sont mes nouvelles pompes. Ce sont des bonnes chaussures. Elles ne vous rendront pas riche comme moi. Vous ne pourrez pas prendre des rebonds comme moi et vous ne serez certainement pas aussi beaux que moi. C’est juste que vous porterez les mêmes chaussures que moi, c’est tout. »

- En révélant que sa fille de 17 ans n’avait pas encore de petit copain : « Dieu merci. J’espère qu’elle ne va pas s’y mettre avant que je rejoigne le Hall Of Fame. Comme ça je n’aurais pas besoin de tuer quelqu’un avant d’être introduit. »

- Son avis sur les joueurs considérés comme des gros bosseurs : « Si vous sortez avec une fille et que les gens disent qu’elle a une super personnalité, c’est qu’elle est moche. Si on vous dit qu’un joueur travaille dur, c’est qu’il n’a aucun talent. »

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- Avant un match très important en playoffs : « Je pense que l’équipe qui gagnera le Game 5 gagnera la série. Sauf si nous perdons le Game 5. »

- Après que la défense de zone soit adoptée en NBA : « C’est un grand jour pour les tocards. »

- Alors que la patineuse Tonya Harding se comparait à lui : « J’ai envisagé de l’attaquer pour diffamation puis je me suis rendu compte que je n’avais aucune identité. »

- Du classique Charles Barkley : « Ce n’est pas parce que je peux dunker que je dois élever vos enfants. »

- Ou celle-ci : « La pression ? Ce n’est pas un truc que l’on met dans les pneus ? »

- Au sujet de Jerry Krause, qui avait réussi à garder son poste de GM aux Bulls : « Jerry Krause doit avoir une photo de la femme de son boss en train de baiser avec un singe. »

- En 2007, après avoir vu Dwight Howard : « Si j’avais le corps de Dwight Howard, je me baladerais aux quatre coins du pays pour frapper des gens. »

- Après que Chris Mullin se soit évanoui : « Si c’est son cerveau qui est touché, aucun problème : c’est le plus petit organe de son corps. »

- En s’adressant à A.C. Green, un joueur réputé pour sa foi : « Hey, A.C., si Dieu est si grand que ça, pourquoi il ne t’a pas donné un meilleur tir ? »

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