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major.fatal
@major.fatal
Ne pas mettre Petrovic dans le classement... Le temps est assassin...
Sabonis père, c'est compliqué : il n'a joué que 5 ou 6 ans en NBA.
Sabonis père, c'est compliqué : il n'a joué que 5 ou 6 ans en NBA.
Peut-être que je n’ai pas été assez clair dans mon message d’hier, ou que je n’ai pas assez insisté sur ce qui me paraît essentiel.
De mon point de vue, on ne devient pas un joueur décisif, un joueur qui fait « peur », du jour au lendemain. Des joueurs comme Steph Curry (cf. la finale des JO : qui n’a pas flippé dès son premier shoot, alors que l’EdF avait encore le match en main ?), Rudy Fernández (🤮), Robert Horry et bien d’autres encore… Ils n’ont pas construit leur réputation “clutch” sur un tir fou en un soir. Ils sont devenus ces joueurs-là parce qu’il y a eu des antécédents, parce que des coachs, des préparateurs, des sélectionneurs ou je ne sais qui leur ont donné la confiance et les responsabilités nécessaires pour assumer ces moments.
C’est vraiment ça qui était au cœur de mon propos sur Nadir Hifi. Il a le profil de ce type de joueur, mais pour qu’il franchisse ce cap, il faut lui faire comprendre que c’est son rôle, et surtout lui donner la confiance indispensable pour l’assumer.
Hier, j’ai pris l’exemple du match perdu par les U16 mais effectivement, ce n’était sans doute pas le plus pertinent. La finale de l’Euro U18 est plus parlante : la France menait largement, puis il y a eu ces deux phénomènes classiques. D’un côté, une équipe qui se liquéfie. De l’autre, une équipe qui sent le momentum et qui permet à certains joueurs de passer un cap sur un court instant, de planter les points qui changent le cours du match. Et ces joueurs-là, s’ils réussissent, ce n’est pas par hasard : c’est le fruit de toute une construction en amont.
Nadir, ce message de ne pas le sélectionner, revient à lui montrer qu’il n’est pas CE joueur. Pour le processus de construction du joueur clutch, c’est dommage.
De mon point de vue, on ne devient pas un joueur décisif, un joueur qui fait « peur », du jour au lendemain. Des joueurs comme Steph Curry (cf. la finale des JO : qui n’a pas flippé dès son premier shoot, alors que l’EdF avait encore le match en main ?), Rudy Fernández (🤮), Robert Horry et bien d’autres encore… Ils n’ont pas construit leur réputation “clutch” sur un tir fou en un soir. Ils sont devenus ces joueurs-là parce qu’il y a eu des antécédents, parce que des coachs, des préparateurs, des sélectionneurs ou je ne sais qui leur ont donné la confiance et les responsabilités nécessaires pour assumer ces moments.
C’est vraiment ça qui était au cœur de mon propos sur Nadir Hifi. Il a le profil de ce type de joueur, mais pour qu’il franchisse ce cap, il faut lui faire comprendre que c’est son rôle, et surtout lui donner la confiance indispensable pour l’assumer.
Hier, j’ai pris l’exemple du match perdu par les U16 mais effectivement, ce n’était sans doute pas le plus pertinent. La finale de l’Euro U18 est plus parlante : la France menait largement, puis il y a eu ces deux phénomènes classiques. D’un côté, une équipe qui se liquéfie. De l’autre, une équipe qui sent le momentum et qui permet à certains joueurs de passer un cap sur un court instant, de planter les points qui changent le cours du match. Et ces joueurs-là, s’ils réussissent, ce n’est pas par hasard : c’est le fruit de toute une construction en amont.
Nadir, ce message de ne pas le sélectionner, revient à lui montrer qu’il n’est pas CE joueur. Pour le processus de construction du joueur clutch, c’est dommage.