Des chiffres et des lettres : retour sur le record de Bradley Beal

Bradley Beal s’est déchaîné pour planter 60 points contre les Philadelphia Sixers cette nuit. Mais sans la victoire au bout.

Des chiffres et des lettres : retour sur le record de Bradley Beal

Le carton de Bradley Beal en chiffres

60 points. Le nouveau record de Bradley Beal, intenable hier soir. L’arrière All-Star marchait sur l’eau pour atteindre le plateau des 50 pour la première fois en carrière. Mais les Washington Wizards se sont tout de même inclinés contre les Philadelphia Sixers (136-141). 2. 2 points. Ce qu’il lui manquait pour égaler Stephen Curry, auteur de 62 points il y a quelques jours. Le meneur des Golden State Warriors garde donc la meilleure performance de la saison. 32. Le nombre de points inscrits par Beal en première période. Soit un de moins que Gilbert Arenas et deux de moins que… Michael Jordan, eux aussi auteur de 33 et 34 pions sur une mi-temps. Les records de franchise. 2006. Il faut remonter à l’année 2006 pour retrouver la trace d’un tel match de la part d’un joueur des Wizards. Arenas avait alors inscrit 60 points le 17 décembre. Beal et lui partagent désormais le record de la franchise. 57. 57 points en trois quart temps. Bradley Beal était parti pour en mettre 70. Mais il s’est écroulé ensuite. 3. 3 points. La suite logique. 3 points dans le dernier quart temps. Il a été dominé par Joel Embiid, qui lui a marqué 11 de ses 38 points dans le money time pour faire gagner les Sixers. 61 et 62%. L’adresse aux tirs et à trois-points de Philly sur ce match. Très difficile pour Washington de l’emporter dans ces conditions. CQFR : Philly ne s’arrête plus, Beal et Hayward en feu, Pritchard est clutch !

Le carton de Bradley Beal en lettres

« Je suis en colère. J’ai perdu à chaque fois que j’ai battu mes records… ils ne comptent pas. Je m’en fous. Vous pouvez les jeter par la fenêtre avec mes deux ou trois autres grosses performances. Je veux juste gagner », Beal, furax. « Je prends la responsabilité de ce qui s’est passé à la fin. Je dois mieux terminer. » « On me paye pour prendre le match en main. On me paye pour dominer. C’est mon boulot », Joel Embiid, décisif.

Un carton de Bradley Beal en images

https://twitter.com/NBA/status/1347012788070318082