« Beaucoup de joueurs n’ont pas la chance de ne serait-ce que se rapprocher des 1000 matches en carrière », admet l’intéressé. « C’est un très beau seuil. Je n’ai jamais rien pris pour acquis. C’est quelque chose que j’essaye de répéter aux jeunes joueurs : le nombre de gars avec qui j’ai joué qui ont disparu du jour au lendemain. Tout peut vous être enlevé très vite. On ne sait jamais combien de temps il nous reste. »Avec le load management qui est de plus en plus répandu chez les stars, il se pourrait que cette barre des 1000 soit de moins en moins atteinte, même si la science, le basket moderne et les techniques d’entraînement permettent a priori aux athlètes de durer plus longtemps.
« Quand je suis arrivé dans la ligue, on ne pouvait pas juste sécher un entraînement ou un match parce que l’on perdait de suite sa place. C’était ça la mentalité. Il fallait trouver un moyen de jouer même en étant blessé. Mes joueurs préférés ne rataient aucun match. J’essaye de prendre soin de mon corps au maximum parce que je veux jouer tous les matches. »Jusqu’à présent, ça paye pour DeMar DeRozan. Titre ou pas, il gardera une place dans l’Histoire de la ligue à la fin de sa carrière. CQFR : Lillard et Green cartonnent, les Kings sont implacables
