« C’est une belle victoire parce que nous avions beaucoup d’absents. C’est une belle victoire contre une bonne équipe. Mais je n’ai pas besoin de rappeler à qui que ce soit ce que mes équipes sont capables de faire », commentait le natif d’Akron après le match.
Et boom, le petit clin d’œil à ceux qui ont hâtivement rayé les Cavs de la liste des favoris au titre. La démarche se tient pourtant : l’effectif ne se connaît pas bien, le manque d’efforts en défense est souvent consternant et il y a tout simplement moins de talents que l’an dernier. Pour contrer la culture de l’instant, il faut rappeler que Cleveland avait pris le bouillon contre Toronto plus tôt cette saison. Une déculottée – 34 points d’écart – infligée en novembre dernier. Bon, le roster a complètement changé depuis. Certes. Mais même avec une très grande performance de LeBron James, les Raptors n’ont perdu que de trois points. Alors, que faut-il en conclure ? Il y a-t-il même un constat à établir ? On peut en faire un. Les équipes changent, les systèmes changent mais il y a une constante : une formation peut compter sur le meilleur joueur de la ligue et l’autre non. Et jusqu’à présent, ça a toujours fait la différence.LeBron James n’a rien à prouver mais le message est passé
Impérial lors de la victoire des Cleveland Cavaliers contre les Toronto Raptors, LeBron James a rappelé à tous les sceptiques que le patron, à l’Est, c’est lui.
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