« C’est l’anniversaire de mon fils et j’essaie d’en profiter », a-t-il épinglé en haut de la section commentaires. « Bien sûr, moi-même je veux rentrer mes tirs. Je suis plus dur avec moi-même que qui que ce soit. Laker Nation, ce n’est qu’une question de temps, je travaille trop pour que ça n’arrive pas. Je vous promets, quand le moment de monter en puissance viendra, il viendra. Concentrons-nous sur le fait d’atteindre les palyoffs… Je vous aime tous et vous demande simplement de montrer du respect envers moi et ma famille. »
Ce n’est pas la première fois que l’on constate ce genre de dérive du côté de la franchise californienne. La femme de Russell Westbrook, Nina, avait par exemple reçu des menaces de mort. Même chose pour Danny Green à l’époque où il jouait aux Lakers. Sans oublier les récents commentaires de Patrick Beverley, bien content d’avoir quitté Los Angeles pour Chicago. La conclusion de cette histoire est plus heureuse, car les commentaires d’encouragement ont fini par noyer la négativité qui a poussé Malik Beasley à appeler au calme. Comme quoi, tout n’est pas perdu. Anthony Davis "aime jouer pour les Lakers" malgré les incertitudesVoir cette publication sur Instagram
