Bradley Beal, sa position qui complique sérieusement son trade 👀

On le sait, les Phoenix Suns veulent s'attacher les services de Jimmy Butler. Et le joueur du Miami Heat veut aussi rejoindre la franchise de l'Arizona, prête à lui accorder la prolongation max, à 113 millions de dollars sur 2 ans, qu'il vise. Problème, pour envisager un deal, il faut obligatoirement intégrer Bradley Beal à la transaction.

Et de son côté, l'ex-joueur des Washington Wizards dispose d'une "no-trade clause". Il a donc son mot à dire pour valider (ou non) un échange le concernant. Dans l'absolu, le natif de Saint-Louis n'est pas farouchement opposé à l'idée de quitter Phoenix.

Par exemple, il se montre ouvert à partir pour Miami, les Los Angeles Lakers et les Denver Nuggets. Sans même parler des intérêts des équipes concernées ou de la faisabilité d'un trade, il existe un problème majeur : même dans l'hypothèse d'un trade, Beal refuse de lâcher sa "no-trade clause" selon ESPN !

En effet, sur ce dossier, les Suns, pour faciliter les discussions avec les autres franchises, avaient l'espoir de voir le joueur de 31 ans renoncer définitivement à cette clause. De cette manière, son contrat serait moins "problématique" pour sa future équipe.

Sauf que de son côté, Bradley Beal se montre catégorique à ce sujet. Avec trois jeunes enfants, il veut de la stabilité dans sa vie, notamment pour sa famille. Et après avoir obtenu le privilège de cette "no-trade clause", il n'a pas l'intention de faire une croix sur cette sécurité. Un obstacle supplémentaire sur un dossier déjà très complexe.

Qui eut cru qu'un proprio aurait une pire gestion que celui des KIngs. Félicitations au proprio des suns qui claque 216.6 millions de dollars en masse salariale pour une équipe qui a quasi le même bilan que les Spurs qui eux ont une masse salariale de 145 millions de dollars.
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