En difficulté sur ses débuts en NBA, Cooper Flagg envoie un message

Même s’il reconnaît qu’il n’est pas aussi efficace que ce qu’il l’aurait voulu, Cooper Flagg n’a pas l’air inquiet après deux semaines chez les pros.

En difficulté sur ses débuts en NBA, Cooper Flagg envoie un message

VJ Edgecombe s’affirme comme un joueur majeur aux Philadelphia Sixers. Dylan Harper faisait rêvait les supporters des San Antonio Spurs avant de se blesser. Cedric Coward s’impose aux Memphis Grizzlies. Kon Knueppel vient de battre un record aux Charlotte Hornets. Nombreux sont les rookies qui s’éclatent sur leurs deux premières semaines en NBA. Pour Cooper Flagg, le tableau est un peu plus mitigé. Il est arrivé avec son statut de nouveau phénomène, de numéro un incontesté.

Kon Knueppel, le rookie des Hornets claque un record à 3 points

Sans être à la rue, il a connu plus de moments difficiles qu’autre chose depuis ses grands débuts avec les Dallas Mavericks. Sa franchise est actuellement avant dernière de la Conférence Est avec 4 défaites en 6 matches. Lui tourne à un peu plus de 13 points mais à 37% aux tirs et 28% à trois-points. L’équipe texane ne marque que 95 points sur 100 possessions quand il est sur le terrain.

« C’est une ligue difficile. Je traverse une période de transition. Pour l’instant je n’ai pas mis beaucoup de tirs et je n’ai pas été aussi efficace que ce que j’aurais voulu l’être évidemment. Mais je fais confiance au boulot abattu. Je ne pense pas qu’ils [les Mavericks] doivent avoir des raisons de s’inquiéter. Je ne suis pas inquiet. Ça va aller pour moi », confie le jeune homme dans ce qui ressemble à une promesse de jours meilleurs.

Une forme de message envoyé aux dirigeants, aux fans des Mavs et aussi, indirectement, à ses adversaires. Cooper Flagg va trouver ses repères et se mettre dans le rythme. Sans doute que ça ira déjà mieux le jour où Jason Kidd arrêtera de s’entêter à le faire jouer meneur en l’associant uniquement à des grands.

Je commence un peut a en avoir marre de tout ces punks a chien qui lui tombe dessus, parce que il est pas le joueur parfait idéal qu'il lui mettait comme étiquette. Faudrait rappeler a tous ces imbéciles que le Jordan de 84 n'était pas celui des années 90 . Il a bossé son jeu pour être le top joueur qu'il est devenu. Aujourd'hui les gens ont perdu toute rationalité.
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Ce n'est pas une histoire de punk à chien du tout, c'est une histoire d'attente pour une franchise qui subit les foudres du destin. le basket est un sport ou le public ne respecte rien en terme de vocabulaire (postériser, humilier, pulvériser...) les journaliste mùettent sur un pied d'estale leur soi disant futur Jordan histoire de ne pas qu'on leur disent qu'ils ne l'avaient pas vu venir, mais la ligue n'est pas celle de Jordan, il est bcp plus difficile de faire parler son jeu maintenant.
La déception s'exprime, à eux de ne pas tenir compte des haters et rageux que le basket comprends. Il va y arriver, j'y crois mais arrêtons de mettre des attentes sur des jeunes prometteurs comme ça.
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