La nullité affligeante de la division Atlantique

Malgré un bilan négatif, les Boston Celtics auraient pu prendre le contrôle de la division Atlantique - la plus faible de la ligue - cette nuit.

La nullité affligeante de la division Atlantique
Les Boston Celtics sont candidats à la loterie. Au gros lot, le top pick, le jackpot. Bref, Andrew Wiggins, Julius Randle ou Jabari Parker. Pourtant, les C’s avaient l’occasion de renouer avec leur passé glorieux en prenant la tête de la division Atlantique, synonyme de place en playoffs. Le tout avec un effectif porté par Jared Sullinger (pas de vannes, il a vraiment du potentiel), Jeff GreenAvery Bradley et Jordan Crawford.
« Je ne dirais pas que ça aurait été bizarre (si les Celtics prennent la tête de la division) car tout peut arriver », annonce Avery Bradley au Boston Herald.
Rassurez-vous, Boston a perdu cette nuit. Face aux Milwaukee Bucks, la moins bonne équipe de la Conférence Est. Vu le niveau de la Conf’… On se demande presque si Danny Ainge n’a pas laissé un post-it dans le vestiaire du style ‘les mecs chamboulez pas mon plan’. Les Celtics se sont inclinés mais le niveau de la division Atlantique est quand même affligeant. New York et Brooklyn sont à la ramasse totale. On peut quand même supposer que les deux équipes vont finir par se relever. Au moins une des deux non ? Juste devant le combo new-yorkais, on retrouve les Sixers qui sont doucement mais sûrement passés en mode défaite pour un bon moment. Boston est donc second avec 7 victoires et 12 défaites. And the winner is…. TORONTO ! Les Raptors sont seuls en tête de la division Atlantique avec 6 victoires en 15 matches. En cumulé, les cinq franchises ont remporté 27 matches pour 58 défaites soit 30% de victoires. Juste chaud.