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michael.bolla
@michael.bolla
C’est surtout dans la raquette que c’est pas évident de faire coexister Jabbar et O’Neal mais comme on le dit souvent quand on compare les époques, les joueurs se seraient adaptés et Jabbar aurait pu s’écarter je pense au vu de sa fluidité, sa souplesse et la qualité de ses mains (il plantait des skyhooks à mi-distance !). Je vois plus facilement Bryant en 3, comme à ses débuts. Pour qu’il laisse de la place et des shoots à ses coéquipiers, aussi légendaires soient-ils, c’est une autre histoire...
Lakers 4 - OKC 2.
Quelle opposition ! LA a une equipe tout simplement légendaire, mais OKC a tout de même 3 MVP, dont un des tous meilleurs et de la taille et de la dureté dans la raquette. Le seul bémol des Lakers est le risque que les deux grands se marchent sur les pieds et qu’Ibaka les embete en s’écartant. Mais le talent, le leadership et la complémentarité des Lakers fera la différence au final.
Kinicks 4 - Hornets 1
Beau duel de pivots, mais malgré les scoreurs et l’adresse des frelons, les new-yorkais sont un bon cran au-dessus.
Quelle opposition ! LA a une equipe tout simplement légendaire, mais OKC a tout de même 3 MVP, dont un des tous meilleurs et de la taille et de la dureté dans la raquette. Le seul bémol des Lakers est le risque que les deux grands se marchent sur les pieds et qu’Ibaka les embete en s’écartant. Mais le talent, le leadership et la complémentarité des Lakers fera la différence au final.
Kinicks 4 - Hornets 1
Beau duel de pivots, mais malgré les scoreurs et l’adresse des frelons, les new-yorkais sont un bon cran au-dessus.
Deux séries qui apparaissent assez déséquilibrées selon moi.
Denver 4 - Pelicans 0. Equipe très solide de Denver avec des monstres en attaque (Melo, Jokic, English), un des meilleur défenseur de l’histoire, des créateurs, un bon équilibre raquette-extérieur... Les Pels sont trop déséquilibrées avec deux meneurs organisateurs et trois postes 4 finisseurs.
Miami 4 - Wizzards 1. La belle raquette de Washington peut faire souffrir Miami, même si Lebron peut bien tenir tête à Webber au poste 4. Mais le talent ne suffit pas pour des Wizards inconstants face à des joueurs du Heat combatifs !
Denver 4 - Pelicans 0. Equipe très solide de Denver avec des monstres en attaque (Melo, Jokic, English), un des meilleur défenseur de l’histoire, des créateurs, un bon équilibre raquette-extérieur... Les Pels sont trop déséquilibrées avec deux meneurs organisateurs et trois postes 4 finisseurs.
Miami 4 - Wizzards 1. La belle raquette de Washington peut faire souffrir Miami, même si Lebron peut bien tenir tête à Webber au poste 4. Mais le talent ne suffit pas pour des Wizards inconstants face à des joueurs du Heat combatifs !
Comme d’hab j’ai utilisé une méthode mathémahique : j’ai réparti 10 points en attaque A, défense D, Physique P, Complementarité C et mental M.
Blazers 4-3 (A5-5, D4-6, P4-6, C7-3, M6-4). Série serrée, avec un beau duel de meneurs mais au final le manque de taille dans la raquette du Jazz, malgré la dureté du duo Kirilenko-Malone, leur fait mal. Plusieurs joueurs des Blazers connaissent le chemin de la bague, ce qui compte aussi.
Cavs 4-2 (A4-6, D6-4, P4-6, C7-3, M6-4). Les Cavs faciles sur ce tour. Une équipe complémentaire, un Lebron en chef d’orchestre qui martyrise le défense des Nets.
Blazers 4-3 (A5-5, D4-6, P4-6, C7-3, M6-4). Série serrée, avec un beau duel de meneurs mais au final le manque de taille dans la raquette du Jazz, malgré la dureté du duo Kirilenko-Malone, leur fait mal. Plusieurs joueurs des Blazers connaissent le chemin de la bague, ce qui compte aussi.
Cavs 4-2 (A4-6, D6-4, P4-6, C7-3, M6-4). Les Cavs faciles sur ce tour. Une équipe complémentaire, un Lebron en chef d’orchestre qui martyrise le défense des Nets.
J’ai pris 2 minutes avant de lire le corps de l’article pour y réfléchir et j’ai sorti les quatres mêmes équipes ! Je placerai personnellement Olajuwon 94 en tête car les autres avaient des all-stars anciens ou futurs pour les accompagner. Hakeem n’avait pas réellement de ”lieutenant” cette année-là.
Je finis : ils vivent dans un monde parallèle où ils ne côtoient personne d'autre que leur famille ou leurs employés et sont très très très loin des autres gens.
J'ai tenu 2 épisodes. On dirait un docu-fiction où tout est factice. Le documentaire ne s'intéresse pas assez à l'avancement de la saison, mais je pense que c'est le but du projet : nous "montrer" la vie d'un joueur (x5) mais de la NBA. Donc je me suis ennuyé profondément à regarder le quotidien monotone de millionnaires dans leur palace avec leur mannequin de femme ultra lisse (dans tous le sens du terme) ou leur coach privé, leur chef privé, leur kiné privé etc... J'ai réalisé qu'ils vivent en revanche dans un mois nfe
A la mène, je n'ai jamais plus kiffé comme avec J Williams. Ces premières saisons avec les kings, c'était de la pure folie ! Ça n'a pas duré, on a connu beaucoup plus efficace et régulier, mais je me souviens d'avoir la mâchoire décrochée à chaque highlights ou top 10.
A l'arrière, qui d'autre qu'Iverson ? Voir ce petit lutin de 1m 83 venir faire ses arabesques au milieu des intérieurs bodybuildés de l'époque, c'était unique. Et il était capable de marquer de loin aussi. Faisant la même taille, je rêvais de jouer comme lui à l'époque, mais on m'avait placé à l'intérieur car un des plus grands de mon équipe...
A l'aile, je me délecte encore pour les quelques saisons qui lui reste de la fluidité et l'élégance de Durant. Comme T Mac ou Penny avant lui, il dégage une telle impression de facilité, comme si c'était naturel, sans forcer. Je me surprends quelque fois à me dire "mais en fait c'est simple de marquer un panier, je peux le faire moi aussi".
En ailier fort, je vote pour le greek freak Antetokounmpo. Une machine athlétique et un des seuls intérieurs que j'ai vu partir de l'extérieur pour certains de ces moves.
En pivot, je dirai Jokic. J'ai eu la chance de le voir en live pendant les JO, ce qui a renforcé mon impression (déjà très très forte) de la télé. Il est tellement en contrôle de son jeu, de son équipe (même en défense malgré une faiblesse en homme à homme). Et que dire de ses doigts de fée !
A l'arrière, qui d'autre qu'Iverson ? Voir ce petit lutin de 1m 83 venir faire ses arabesques au milieu des intérieurs bodybuildés de l'époque, c'était unique. Et il était capable de marquer de loin aussi. Faisant la même taille, je rêvais de jouer comme lui à l'époque, mais on m'avait placé à l'intérieur car un des plus grands de mon équipe...
A l'aile, je me délecte encore pour les quelques saisons qui lui reste de la fluidité et l'élégance de Durant. Comme T Mac ou Penny avant lui, il dégage une telle impression de facilité, comme si c'était naturel, sans forcer. Je me surprends quelque fois à me dire "mais en fait c'est simple de marquer un panier, je peux le faire moi aussi".
En ailier fort, je vote pour le greek freak Antetokounmpo. Une machine athlétique et un des seuls intérieurs que j'ai vu partir de l'extérieur pour certains de ces moves.
En pivot, je dirai Jokic. J'ai eu la chance de le voir en live pendant les JO, ce qui a renforcé mon impression (déjà très très forte) de la télé. Il est tellement en contrôle de son jeu, de son équipe (même en défense malgré une faiblesse en homme à homme). Et que dire de ses doigts de fée !
En considérant une équipe fictive, sans considération de complémentarité ou autre : Magic, Jordan, LeBron, Duncan, Olajuwon.
Je suis totalement d'accord sur l'attitude des joueurs de basket en général et les américains en particulier, en NBA comme en en FIBA.
J'ai de plus en plus de mal à supporter le cirque des joueurs sur le banc qui se lèvent, sautent, agitent leur serviette au moindre 3 pts, crossover ou dunk. Idem pour certains joueurs qui haussent les épaules, montrent les muscles ou poussent des cris de rage au moindre lay-up avec contact. Ça fait quelques années déjà qu'ils ont pris cette mauvaise habitude (la seule marque que nous a laissé Robert Sacré en NBA?) et ça a gagné en ampleur de saisons en saisons.
En tant que vieux con reconnu (je suis la NBA depuis 93-94), j'ai revu des highlights des années 80, 90, 2000 et comme dans mes souvenirs les célébrations étaient bien plus rares. Maintenant on voit les joueurs s'exciter 10 fois par quart-temps, dès le début du match et pour des actions qui n'ont pas de réelle influence sur le scénario du match.
Ce n'était pas "mieux avant" et je comprends qu'il y ait une part de spectacle dans le sport et que l'intimidation a toujours fait partie du jeu et de la victoire, quelque soit le sport (beaucoup par le biais du trash-talking chez nous). Je comprends également que ces démonstrations d'émotions sont probablement aussi renforcées par la baisse de contacts physiques et des altercations voulues par toutes le fédérations et ligues. Mais il y a une part totalement surjouée pour entraîner le public et les coéquipiers, impressionner l'adversaire et prendre le momentum qui rend les joueurs ridicules.
Pour les autres sports, j'ai moins de recul et ça m'a globalement semblé moins prégnant qu'au basket généralement. Je me suis étonné de voir les escrimeurs crier dès le première touche ou les volleyeurs exulter à chaque point, même pour revenir à 2-2 dans le premier set. J'en suis même venu à me demander si ce n'était pas contre-productif du point de vue de la performance. Les joueurs ne laissent-ils pas ce que nous appelions de "l'influx nerveux" dans ces célébrations permanentes ? Et une clef de la performance en psychologie du sport est le contrôle des émotions, positives comme négatives ...
En revanche je n'interprète pas cela comme de l'arrogance, une démonstration de supériorité ou un manque de fair-play. C'est juste une habitude que les athlètes ont pris, et il y a probablement un effet d'entraînement, de mode dans ces comportements.
J'ai de plus en plus de mal à supporter le cirque des joueurs sur le banc qui se lèvent, sautent, agitent leur serviette au moindre 3 pts, crossover ou dunk. Idem pour certains joueurs qui haussent les épaules, montrent les muscles ou poussent des cris de rage au moindre lay-up avec contact. Ça fait quelques années déjà qu'ils ont pris cette mauvaise habitude (la seule marque que nous a laissé Robert Sacré en NBA?) et ça a gagné en ampleur de saisons en saisons.
En tant que vieux con reconnu (je suis la NBA depuis 93-94), j'ai revu des highlights des années 80, 90, 2000 et comme dans mes souvenirs les célébrations étaient bien plus rares. Maintenant on voit les joueurs s'exciter 10 fois par quart-temps, dès le début du match et pour des actions qui n'ont pas de réelle influence sur le scénario du match.
Ce n'était pas "mieux avant" et je comprends qu'il y ait une part de spectacle dans le sport et que l'intimidation a toujours fait partie du jeu et de la victoire, quelque soit le sport (beaucoup par le biais du trash-talking chez nous). Je comprends également que ces démonstrations d'émotions sont probablement aussi renforcées par la baisse de contacts physiques et des altercations voulues par toutes le fédérations et ligues. Mais il y a une part totalement surjouée pour entraîner le public et les coéquipiers, impressionner l'adversaire et prendre le momentum qui rend les joueurs ridicules.
Pour les autres sports, j'ai moins de recul et ça m'a globalement semblé moins prégnant qu'au basket généralement. Je me suis étonné de voir les escrimeurs crier dès le première touche ou les volleyeurs exulter à chaque point, même pour revenir à 2-2 dans le premier set. J'en suis même venu à me demander si ce n'était pas contre-productif du point de vue de la performance. Les joueurs ne laissent-ils pas ce que nous appelions de "l'influx nerveux" dans ces célébrations permanentes ? Et une clef de la performance en psychologie du sport est le contrôle des émotions, positives comme négatives ...
En revanche je n'interprète pas cela comme de l'arrogance, une démonstration de supériorité ou un manque de fair-play. C'est juste une habitude que les athlètes ont pris, et il y a probablement un effet d'entraînement, de mode dans ces comportements.
Personnellement, je ne comprends pas le statut qu'a pris Vince Carter au fil des ans malgré tout le respect que j'ai pour lui. C'était un joueur très spectaculaire, peut-être le plus spectaculaire que j'ai pu voir, mais il n'a jamais réussi à être un bon franchise player. Il lui manque des résultats indiciels et collectifs pour faire parti des grands selon moi.
A Toronto, il a fait 1 finale de conf de mémoire. Puis aux Nets, il est arrivé dans une équipe double finaliste et ils n'ont rien réussi de marquant. Puis il a eu petit à petit un rôle de vétéran et d'homme de vestiaire. Il n'a finalement été leader d'une équipe que ses premières années à Toronto.
Alors oui, c'était une machine à Top10 et higlights, mais il n'a jamais selon moi fait parti des meilleurs joueurs de la ligue, même à son prime. J'ai déjà été surpris par la rapidité de son intronisation au Hall of Fame. Il a été un joueur marquant de son époque et probablement le meilleur dunkeur en match de cette ligue, puis un modèle pour les jeunes dans son rôle de vétéran. Il a également su adapter son jeu et sa mentalité au fil de sa carrière. Tout cela mérite de la reconnaissance, mais un maillot retiré me semble excessif, surtout aux Nets.
Je trouve qu'il a finalement eu une première moitié de carrière à la Blake Griffin ( les Clippers étaient peut-être même plus contender que les Raptors...), mais une longévité et une fin de carrière bien plus honorable.
Je me souviens avec nostalgie l'attente chaque week-end de voir ce qu'avait fait Vince "Air Canada" Carter dans le NBA Action hebdomadaire, et de ne jamais avoir été déçu !
A Toronto, il a fait 1 finale de conf de mémoire. Puis aux Nets, il est arrivé dans une équipe double finaliste et ils n'ont rien réussi de marquant. Puis il a eu petit à petit un rôle de vétéran et d'homme de vestiaire. Il n'a finalement été leader d'une équipe que ses premières années à Toronto.
Alors oui, c'était une machine à Top10 et higlights, mais il n'a jamais selon moi fait parti des meilleurs joueurs de la ligue, même à son prime. J'ai déjà été surpris par la rapidité de son intronisation au Hall of Fame. Il a été un joueur marquant de son époque et probablement le meilleur dunkeur en match de cette ligue, puis un modèle pour les jeunes dans son rôle de vétéran. Il a également su adapter son jeu et sa mentalité au fil de sa carrière. Tout cela mérite de la reconnaissance, mais un maillot retiré me semble excessif, surtout aux Nets.
Je trouve qu'il a finalement eu une première moitié de carrière à la Blake Griffin ( les Clippers étaient peut-être même plus contender que les Raptors...), mais une longévité et une fin de carrière bien plus honorable.
Je me souviens avec nostalgie l'attente chaque week-end de voir ce qu'avait fait Vince "Air Canada" Carter dans le NBA Action hebdomadaire, et de ne jamais avoir été déçu !