Ce que l’on a retenu de chaque franchise NBA après un mois

On a déjà regardé toutes les équipes NBA sur ce premier mois et on vous partage une observation plus ou moins poussée sur chacune d'entre elles.

Ce que l’on a retenu de chaque franchise NBA après un mois

Houston Rockets : la zone comme arme secrète

Enfin, plus si secrète. Mais déjà, petit flashback. Au bout d’une semaine, nous avions pointé du doigt les difficultés des Rockets à mettre le jeu en place et à étirer les lignes. Depuis, ils se sont affirmés comme l’équipe la plus adroite de la ligue à trois-points. Une performance extraordinaire, probablement pas tenable sur la durée, qui explique en partie l’excellent passage de la franchise texane, actuellement lancée sur une série de 9 victoires au cours des 10 derniers matches.

Ce que l’on a retenu de chaque franchise NBA après une semaine

Les tirs ne vont pas toujours autant rentrer. Par contre, ce groupe a de toute façon tout plein d’autres atouts. Parmi eux, cette fameuse défense de zone qu’Ime Udoka adore utiliser quand il aligne Alperen Sengun et Steven Adams ensemble sur le terrain. Houston passe quasiment un cinquième de ses possessions défensives en zone, soit le double de Miami, la deuxième équipe qui défend le plus souvent de la sorte.

Et le constat, c’est donc que ça marche plutôt bien pour les Rockets. Adams et Sengun verrouille complètement l’accès au cercle et prennent rebonds sur rebonds. Devant, les joueurs athlétiques que sont Jabari Smith, Kevin Durant, Tari Eason et compagnie sont suffisamment longs et rapides pour recouvrir sur les close-outs. Affaire à suivre.

Boston Celtics : les rois du mid-range !

Qui l’aurait cru. Depuis l’arrivée de Joe Mazzulla, les joueurs ont carte blanche absolue pour dégainer à trois-points aussi souvent qu’ils le souhaitent ou presque. Ils le font encore cette saison, avec près de 44 tentatives lointaines chaque soir (seuls les Cavaliers en prennent plus avec 46). Mais les Celtics se rapprochent aussi un peu du cercle… au moins de quelques pas.

Boston est l’équipe qui marque le plus à mi-distance cette saison. Jaylen Brown pointe par exemple à un impressionnant 52% de réussite en déjà 86 tentatives dans cette zone, Payton Pritchard est à 45% et Derrick White à 46%. Une diversification qui ne peut être que bénéfique pour l’équipe du Massachusetts.

San Antonio Spurs : comment réintégrer Fox ?

La grande question de la saison pour San Antonio. Statistiquement, le meneur All-Star est plutôt bon. Sa présence fait aussi beaucoup de bien quand Victor Wembanyama et/ou Stephon Castle manquent des matches. Il doit maintenant trouver ses repères avec ces deux joueurs-là pour vraiment porter les Spurs vers le haut.

Atlanta Hawks : meilleurs sans Trae Young ?

C’est une question que le front office va vraiment finir par se poser. Atlanta a perdu 3 des 5 matches disputés par son meneur All-Star avant de gagner 7 des 9 qui ont suivi sa blessure. Des résultats qui font réfléchir, même si l’échantillon reste faible. Les Hawks encaissaient 117,6 points sur 100 possessions avant sa blessure, tout en marquant 111,1 points. Depuis ? 116,9 inscrits et 108,3 encaissés. Avec donc des progrès notables des deux côtés du terrain.

Le cinq majeur formé par Dyson Daniels, Nickeil Alexander-Walker, Zaccharie Risacher, Jalen Johnson et Onyeka Okongwu est moins talentueux en termes de création mais il est beaucoup plus polyvalent défensivement, plus costaud, plus athlétique, plus grand et tout simplement plus fiable. L’évolution d’Okongwu derrière l’arc (8 paniers primés dans un match récemment) laisse même penser que ce groupe peut tenir la route offensivement.

Les dirigeants ne vont certainement pas transférer Young sans l’avoir réintégré dans cette belle dynamique mais les rumeurs repartiront sans doute de plus belles s’il n’a pas de suite un impact à son retour.

Detroit Pistons : leur début de saison est légitime

Les Pistons sont premiers de la Conférence Est avec 11 victoires en 13 matches. Peuvent-ils tenir sur la durée ? Tout dépend des attentes mais les hommes de JB Bickerstaff ne sont pas à prendre à la légère. Entre les prestations de Cade Cunningham, l’évolution d’Ausar Thompson (évoquée il y a trois semaines dans le précédent volet de cet article) et un immense Jalen Duren en « contract year », Detroit semble vraiment solide. Pour preuve les deux matches gagnés avec l’équipe bis.

Charlotte Hornets : LaMelo Ball et Brandon Miller, jamais ensembles

Pas question pour Charlotte de tanker cette saison. En tout cas, ce n’est pas l’objectif annoncé par la franchise de Caroline du Nord. Le processus de reconstruction est déjà entamé depuis un moment et l’organisation a drafté, entre autres, LaMelo Ball, Brandon Miller et maintenant Kon Knueppel. Tous sont talentueux et prometteurs. Mais ils jouent rarement en même temps.

Les deux premiers ont par exemple disputé seulement 27 matches ensemble depuis la draft de Miller en… 2023 ! 27 sur 177 possibles ! Difficile de trouver une statistique plus folle. Les blessures à répétition sont en train de tuer le projet des Hornets.

Dallas Mavericks : le manque d’organisation plombe l’équipe

COOPER FLAGG meneur Dallas Mavericks NBA Nico Harrison Bob Myers

Ça pourrait être un double-sens. Mais avec le renvoi de Nico Harrison, la franchise devrait petit à petit retrouver de la stabilité en coulisses, aussi paradoxal que cela puisse paraître. La fin de ce terrible feuilleton va pouvoir ramener de la sérénité dans l’encadrement. Les joueurs eux-mêmes vivaient mal la situation, avec des supporters plus enclins à descendre leur ancien dirigeant qu’à encourager leurs troupes. Bref, une nouvelle ère s’ouvre autour de Cooper Flagg.

Comme nous l’avions réclamé, le premier choix de la draft est enfin aligné avec un meneur traditionnel à ses côtés. Et ça se passe mieux pour le prodige de Duke, qui tourne à plus de 18 points, 7 rebonds et 4 passes tout en shootant à 51% sur les 5 derniers matches. On s’attendait à le voir sur le terrain avec D’Angelo Russell mais Jason Kidd ne lui fait décidément pas confiance et il préfère faire jouer Brandon Williams. Dans tous les cas, pour en revenir à l’organisation sur le terrain, les Mavericks manquent cruellement de gestionnaires et de playmakers. Leur ratio passes décisives / ballons perdus est l’un des plus élevé de la ligue et ce n’est pas un hasard.

Los Angeles Lakers : la disparité des lancers-francs est toujours douteuse

C’est l’un des principaux combats de tous les détracteurs des Lakers : cette franchise va vraiment beaucoup plus souvent que ses adversaires sur la ligne. Pour la quatrième année de suite, l’équipe mythique affiche la plus grande disparité de lancers-francs tirés chaque soir par rapport à l’équipe d’en face. Un écart qui a déjà fait crier de nombreux coaches. Après, avant de hurler au complot, notons tout de même qu’il est normal qu’une équipe avec Luka Doncic et Austin Reaves, deux joueurs qui ont le chic pour pousser leur défenseur à la faute, se rendent souvent sur la ligne réparatrice. Mais ça reste suspect.

Orlando Magic : Tristan Da Silva comme solution aux problèmes

Le Magic traverse tout un tas de difficultés sur ce premier mois de compétition. Dont les problèmes de spacing toujours présents et déjà signalés lors de notre précédent papier. En revanche, tout roule dès que Tristan Da Silva met les pieds sur le parquet. Orlando affiche un Net Rating de +13 sur 100 possessions avec son autre joueur allemand. C’est simple, les Floridiens sont meilleurs en attaque ET en défense avec l’ancien Munichois.

Avec 11,6 points par match à 48% aux tirs et 40% à trois-points, il est l’une des satisfactions du début de saison du côté du Magic. Au point où l’on se demande s’il ne devrait pas passer de plus grosses minutes sur le terrain.

Ce cinq qui peut débloquer le Orlando Magic

Indiana Pacers : il n’y a (plus) personne pour mettre des points

Sans surprise, avec autant de blessures, les Pacers sont complètement largués à l’Est. On se demandait il y a trois semaines s’ils ne devaient pas tanker. La réponse paraît déjà évidente aujourd’hui. Ça manque de talent dans l’Indiana et, cette fois-ci, le système d Rick Carlisle ne suffit plus à compenser les trop nombreux absents. Machine à scorer l’an passé, la formation est désormais dernière aux points par 100 possessions en NBA.

Milwaukee Bucks : Ryan Rollins peut changer le cours de la saison

Giannis Antetokounmpo évolue à un niveau extraordinaire et il est en course pour un troisième trophée de MVP. Le Grec dézingue tout dans la raquette et, quand ses adversaires se resserrent trop sur lui, il ressort pour les shooteurs. Ses 18 passes décisives lors d’un match gagné en OT contre les Hornets en témoignent. Nous avions mis en lumière cette éventuelle dépendance des Bucks à l’adresse extérieure de leurs joueurs de complément mais, pour l’instant, les snipers tiennent le cap.

Il va tout de même falloir trouvé d’autres options. C’est là où la montée en puissance de Ryan Rollins est essentielle. Le meneur de 23 ans s’affirme comme une pioche incroyable en étant capable de mettre des tirs de loin mais aussi d’agresser des défenses balle en main et de créer lui aussi des décalages. Il est long, il défend, il ne force pas. S’il grimpe encore d’un cran, Milwaukee sera un éventuel outsider de l’ombre à l’Est. Il n’y est pas encore mais sa progression (17 points et 6 passes par match à 45% à trois-points) est importante et mérite d’être surveillée.

Washington Wizards : Alex Sarr, prêt à assumer un plus grand rôle

Les scouts ont toujours été divisés au sujet d’Alexandre Sarr. Peut-être le sont-ils encore. Mais sans doute de moins en moins. Ceux qui l’imaginaient essentiellement comme un futur joueur de devoir risque de revoir leur copie. Précieux dans le système de Wizards certes en perdition, le Français est le meilleur marqueur parmi les sophomores au bout d’un mois avec 18,3 points par match. Il est aussi l’attaquant le plus prolifique de son équipe.

Ce qui est particulièrement intéressant, c’est l’évolution de son utilisation. Sarr essaye de se rapprocher du cercle et il a énormément gagné en efficacité. Il est même plus adroit à trois-points sur un plus petit volume et montre une capacité à distribuer le jeu depuis le poste haut. Il ne deviendra peut-être pas un All-Star mais il y a quelque chose de spécial chez le natif de Bordeaux.

Denver Nuggets : s’ils se mettent même à défendre…

Les Nuggets ont la deuxième meilleure défense de la ligue (mais loin derrière le Thunder) après un mois de compétition. Seulement 109,4 points encaissés sur 100 possessions. Contre 116 l’an passé par exemple. Il faut relativiser, notamment parce que Denver a joué quelques équipes faibles, mais les apports de Jonas Valanciunas, Bruce Brown et compagnie ont permis à cette équipe de stabiliser ses performances sur toute la durée d’un match.

New Orleans Pelicans : Willie Green n’est pas le responsable de la situation merdique

Renvoyer Willie Green ne redonnera pas la santé à Zion Williamson et ne ramènera pas le pick 2026 des Pelicans. Les soucis, ils viennent de plus haut.

Minnesota Timberwolves : Jaden McDaniels est un candidat au MIP

Le MIP, c’est un peu le trophée fourre-tout avec des critères pas clairs puisqu’il faudrait regarder énormément de matches pour vraiment déterminer qui a le plus progressé. Dyson Daniels était-il vraiment meilleur l’an dernier ou profitait-il simplement d’un temps de jeu accru et de responsabilités complètement différentes ?

Ce qui est intrigant avec Jaden McDaniels, c’est qu’il fait les mêmes choses que l’an passé, mais en mieux. En plus efficace. Sur le même temps de jeu, dans la même équipe. En ayant même un rôle plus large, mais parce que justement il est de plus en plus à l’aise balle en main. Sa progression offensive (il est passé de 12,2 à 17,7 points pour l’instant) est un facteur de poids pour les Timberwolves, actuellement sixièmes à l’Ouest.

Los Angeles Clippers : trop lents, trop imprécis

Aucune équipe ne perd plus de ballons que les Clippers en pourcentage de possessions jouées chaque soir. Les Californiens sont aussi ceux qui encaissent le plus de points suite à un TO en NBA. Et c’est logique ! Ils sont vieux et lents ! C’est résumé de manière très brutal mais, si James Harden n’est pas impeccable à l’exécution, tout déraille à Los Angeles. Les hommes de Tyronn Lue évoluent sur un rythme de sénateurs et se font punir par des contre-attaques à chaque fois qu’ils perdent la balle. Parce qu’ils n’ont pour la plupart pas les jambes pour courir sur le repli défensif soir après soir, possession après possession.

Toronto Raptors : la transition la plus meurtrière de la NBA

L’inverse des Clippers. Le duel entre les deux équipes pourraient tourner au massacre si jamais les Angelenos sont maladroits ce soir-là. Enfin, le contraire… pas tout à fait. Mais Toronto est la formation qui marquent le plus de points en contre-attaque chaque soir. Et de très loin ! Forcément, avec des athlètes comme Scottie Barnes, RJ Barrett, Immanuel Quickley et compagnie, ça cavale.

Le trio formé par Barnes, Barrett et Brandon Ingram montre toujours des limites mais les Raptors ont d’autres armes pour compenser. Et notamment le jeu de transition. La franchise canadienne est pour l’instant bien plus performante que ce qu’on ne le pensait.

Oklahoma City Thunder : le record des Warriors en vue ?

Nous soulignions il y a quelques semaines les évolutions offensives (flippantes) de Chet Holmgren et Ajay Mitchell. Elles ont fait du Thunder une formation encore plus redoutable, capable de gagner chaque soir quels que soient le lineup, l’adversaire ou le scénario. Les 73 victoires de Golden State sont-elles susceptibles d’être battues ? Ce serait absolument fou.

Chet Holmgren, la progression qui rend le Thunder effrayant

Brooklyn Nets : le (triste) record des Sixers en vue ?

A l’inverse, les Nets sont-ils capables de faire pire que les Sixers de 1973 ? Philly n’avait gagné que 9 matches cette année-là. Brooklyn vient de faire tomber Washington, un autre cancre, et deux autres équipes de l’Est ont un bilan encore plus mauvais que les New-yorkais. Mais sur le papier, ce roster est quand même vraiment bien dégueulasse.

Golden State Warriors : pas assez de points dans la peinture

Stephen Curry NBA

Personne ne marque moins que Golden State sous le cercle. Ça s’explique par l’absence d’un pivot dominant, certes, mais aussi un petit peu par les jambes vieillissantes de Jimmy Butler et Stephen Curry, même si les deux sont toujours parmi les meilleurs joueurs NBA. Ils n’ont plus toujours le jus pour agresser la raquette action après action. Nuançons tout de même en notant que les deux All-Stars tirent énormément de lancers-francs.

Chicago Bulls : Le soufflé est vite retombé

Les Bulls avaient la meilleure défense NBA au moment de notre première édition de ce papier. Ils sont redescendus à la 19eme place depuis. Avec même 6 défaites lors des 7 derniers matches.

Utah Jazz : Lauri Markkanen mérite d’aller voir ailleurs

Le Jazz est cool et réjouissant et Lauri Markkanen doit sans doute s’éclater en scorant autant. Mais, à 28 ans, il est juste trop fort pour végéter à Utah. Ses deux dernières pointes à 40 et 47 unités rappellent qu’il est un scoreur de premier plan capable d’aider un contender en se glissant dans la peau d’une deuxième ou troisième option. Sortez-le de là !

Philadelphia Sixers : Nick Nurse est le nouveau Tom Thibodeau

40 minutes par match pour Tyrese Maxey. C’est dingue à notre époque, surtout au rythme auquel jouent les équipes. Sachant que Nurse donne aussi 37 minutes à VJ Edgecombe et quasiment 35 à Kelly Oubre. OK, ils sont jeunes, mais quand même. Pendant ce temps, Joel Embiid et Paul George… non, rien.

Memphis Grizzlies : Ja Morant, déboussolé et perdu

Lui aussi peut-il être sorti de sa situation ? Les fans auront sans doute moins de pitié pour son cas que pour celui de Lauri Markkanen, parce qu’il est probablement en partie responsable de ce qui se passe à Memphis. Morant ne colle pas avec la philosophie de son coach Tuomas Iisalo. Il a encore été suspendu par les Grizzlies et il affiche les pires stats de sa jeune carrière : 17,9 points et 35% aux tirs en 28 minutes. Indigne de son talent.

Sauf que Memphis réfléchira peut-être à deux fois avant de s’en séparer. Il est le seul qui crée une forme d’engouement autour de la franchise. Le seul qui fait vendre. Sauf que, bientôt, cet engouement va s’éteindre aussi vite que le joueur, qui avoue avoir perdu sa joie d’être sur un terrain de basket. Il est temps de reconstruire et de trouver une autre star bankable à la draft 2026.

Miami Heat : Orlando aurait dû faire Powell

Le Magic s’est séparé de quatre premiers tours de draft (entre autre) pour aller chercher Desmond Bane. Miami a cédé Kyle Anderson et Kevin Love pour faire Norman Powell, potentiel All-Star cette saison.

Sacramento Kings : la vraie vie, ce n’est pas NBA 2K

Domantas Sabonis NBA Sacramento Kings Victor Wembanyama Spurs

DeMar DeRozan, Zach LaVine, Russell Westbrook, Domantas Sabonis, Dennis Schröder… tout ça dans la même équipe, c’est cool. Mais sur console. Et encore, sur la version 2019 de NBA 2K alors. La réalité du terrain, c’est une équipe déprimante et dépressive qui ne fait que perdre.

Cleveland Cavaliers : Evan Mobley peut-il franchir le cap ?

Beaucoup de questions dans ce deuxième volet du bilan de la saison en cours. Mais celle-ci est primordiale pour les Cavaliers. Evan Mobley est presque aux 20 pions par match et il n’est pas manchot. Mais il y a un palier offensif qu’il ne parvient pas forcément à franchir pour l’instant. Sans ça, un titre voire même des finales semblent impensables.

Phoenix Suns : la touche Jordan Ott se ressent

Considéré parmi les meilleurs assistants du circuit avant de s’engager avec Phoenix, Jordan Ott confirme pour l’instant les espoir placés en lui. Le coach a su transformer une formation des Suns moins forte sur le papier mais plus cohérente que la saison dernière. Si ça continue, la franchise de l’Arizona n’aura pas à céder un pick si haut placé.

New York Knicks : Davion Mitchell met-il le point sur quelque chose ?

Avant le match contre New York, l’arrière du Heat soulignait le fait que les Knicks seraient plus dangereux sans Jalen Brunson parce que plus fluides offensivement, plus collectifs et plus solides en défense. Ses adversaires lui ont donné raison en claquant 140 points dans la foulée, sans leur meilleur joueur. Bien évidemment que Brunson est l’élément moteur des Knicks, et très largement. Mais niveau style de jeu, ça donne à réfléchir.

Portland Trail Blazers : Shaedon Sharpe monte en puissance

Il a eu du retard à l’allumage mais Sharpe montre enfin ce pourquoi il a obtenu une extension proche des 100 millions de dollars. L’adresse revient, le reste suit aussi.

Merci pour ce bilan : c'est pratique et utile surtout pour les équipes que l'on a pas encore pu voir...
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