The Wire : LaVar Ball est partout, farewell D-Will

The Wire : LaVar Ball est partout, farewell D-Will

Le fil actualisé toute la journée pour tout ce qu'il faut savoir aujourd'hui en NBA, avec du LaVar Ball à gogo.

Shaï MamouPar Shaï Mamou  | Publié  | BasketSession.com / NEWS
Vous n'avez pas le temps de tout suivre ou de mater toutes nos news et celles sur le web ? The Wire, en plus d'être une série culte, est votre solution. Toutes les news (ou presque) essentielles (ou presque) seront listées ici en live (ou presque) tout au long de la journée, pour ne rien rater de cette journée de NBA.

18h30 : Dumb and dumber

La nouvelle génération de comiques frappe fort en ce moment. Grâce au talent incommensurable du président américain, le duo Donald TrumpLaVar Ball prend une dimension insoupçonnée. Le POTUS, qui a visiblement du temps à perdre, vient de porter un nouveau coup à la dignité de la fonction présidentielle avec son grand débat national lancé conjointement avec le daron de Lonzo, « Qui c’est qui a sauvé les miches de LiAngelo Ball des geôles infâmes de la dictature sanguinaro-communiste de Chine ? ». Les geôles en question : Pour tenter de conclure le va-et-vient roccosiffredesque à base de « c’est pas toi ! », « si c’est moi », « non c’est pas toi », « mais puisque je te dis que c’est moi, tu vas le reconnaître bordel de merde ? », « moi vivant, jamais », Donald Trump a calé deux twitts (qu’on ne saurait trop vous recommander de lire) ponctués d’un magique « idiot ingrat ». A ce niveau, même Gar Forman et John Paxson ne peuvent plus rivaliser avec ce nouveau duo de jeunes comiques. En tout cas, Mark Cuban a tout compris : les deux sont exactement les mêmes.

Stay in your lane

LaVar Ball balance du « stay in your lane » toutes les deux phrases mais ne semblent pas forcément savoir ce que ça veut dire. Sans surprise tellement on sentait venir ce moment, il a critiqué le coaching des Los Angeles Lakers et la façon dont l’équipe gère son fils. Heureusement, Luke Walton est un poil plus intelligent. Ou diplomate, au choix.

Beverley, toujours pas...

Rien ne sourit aux Clippers. Alors que Doc Rivers est en danger, les Californiens ont appris que Patrick Beverley allait devoir repousser son retour, touché à nouveau au genou. Depuis qu'il a aboyé sur Lonzo Ball en début de saison, le pitbull de LA est frappé par la guigne. On soupçonne l'une de ses anciennes (nombreuses) victimes d'avoir engagé un marabout.

Isaiah bosse bien

Isaiah Thomas n'a pas l'air si loin d'un retour vu ce qu'il montre à l'entraînement. Dommage, l'ère José Calderon débutait bien dans l'Ohio...

Retraite

Dans un entretien accordé au Bleacher Report, Deron Williams laisse entendre qu’il est peut-être dès à présent en retraite. Nous, comme des cons, on pensait qu’il était retraité du basket depuis 5 ans déjà…

Curry à la banane

JaVale McGee ne joue quasiment plus, mais il continue d'animer la colo des Warriors. Après un pari gagné contre Stephen Curry, l'ex-légende du Shaqtin'a Fool a décidé de l'obliger à porter une banane (l'accessoire vintage, pas le fruit hein) lors des trois prochains matches. Dans certains quartiers de Paris, ce serait une récompense et pas une punition vu comment la banane est revenue à la mode...

Instant Karma

Steve Kerr est un mec bien, qui ne veut pas tirer sur une ambulance, surtout quand c’est un proche. Interrogé sur l’échec de son ancien mentor Phil Jackson aux New York Knicks, le coach des Golden State Warriors évoque () la chance et la malchance, le fait qu’ « on aura tous nos moments dans cette ligue, des hauts et des bas ». Plutôt sympa de ne pas évoquer l’aigreur, la sénilité ou l’entêtement.

Les cameramen sont aussi des hommes…

… avec leurs forces et leurs faiblesses, et un petit cœur qui vibre… Alors Antonio Blakeney a beau être un jeune intéressant, les cameramen NBA ont aussi d’autres centres d’intérêt. Et visiblement, ils connaissent leurs priorités :

Steven Adams est un génie

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